Au moment où j’écris cet article, une fucking machine trône fièrement dans son salon, brandissant, au bout de son bras mécanique, un piston muni d’un phallus en plastique.
La boutique Le Gastronome Sexy nous a envoyé la BlackPill 415, une “machine à baiser” de sa propre marque. L’engin est plutôt impressionnant…
Mais, même si je n’étais pas tout à fait rassurée au moment de m’en servir, j’avais très envie de l’essayer. Ce n’est pas tous les jours qu’on vous donne l’occasion de coucher avec un robot, et, à partir du moment où j’ai su que j’allais pouvoir le tester, cet engin sexuel démoniaque est vite devenu l’objet de mes fantasmes.
Voici le test de la fucking machine BlackPill 415.
Une fucking machine, à la base, c’est surtout un accessoire que l’on voit dans des pornos. Pour illustrer cet article, nous n’avons donc pas pu résister à l’envie de prendre quelques photos NSFW. Assurez-vous que personne ne regarde par-dessus votre épaule, ou alors, uniquement des adultes qui n’ont rien contre la perspective d’apercevoir des gens tout nus sur votre écran.
Packaging
La BlackPill 415 n’a pas de packaging à proprement parler, mais son colis était bien emballé, avec une bonne quantité de papier bulles à l’intérieur, et sans le moindre indice pouvant laisser deviner son contenu à l’extérieur.
Le colis était moins lourd que ce que j’aurais imaginé, le tout pèse moins de trois kilos. Ça reste un gros sextoy, pas une enclume.
La Fucking Machine
Aspect
L’engin, on s’en serait douté, est assez encombrant.
Un socle recouvert de faux cuir, avec avec quatre ventouses dépliables vissées sur les côtés, sur lequel est fixé un pied métallique, permettant de régler la hauteur et l’orientation du piston.
Ce pied soutient la partie contenant le moteur et les mécanismes, un gros cylindre orné de motifs croco un peu kitsch, sur lequel on peut lire “Machine gun. Happiness Browser” (“Mitrailleuse. Navigateur de Bonheur” ? Hein, quoi ? Bon, on va peut-être zapper la traduction, tout compte fait). Une inscription en chinois y figure également. C’est sur cette partie que l’on va brancher le câble d’alimentation.
De l’extrémité du cylindre dépasse le piston de la fucking machine, sur lequel on va fixer le gode, un sextoy de couleur chair, doté d’un embout particulier, à trois broches, complémentaire à celui du piston.
Cet embout ressemble à un connecteur XLR, un type de fiche utilisé pour brancher certains microphones (c’en est peut-être un), mais il sert uniquement à maintenir le gode fermement fixé à la tige.
Matériaux
Dans la fucking machine BlackPill 415, les parties réglables et mécanismes sont en métal : le support des ventouses, le système de réglage de l’orientation et de la hauteur, et le piston. Le socle en lui-même semble être en plastique (ou peut-être en bois ?), recouvert de faux cuir, tandis que le revêtement du gros cylindre central contenant le moteur est en plastique, renforcé par deux sangles métalliques.
Le godemiché
Quant au godemiché, difficile de dire de quoi il est constitué. Un matériau plastique, mais je n’en sais pas plus. Au déballage, il sentait une odeur chimique assez forte, qui s’est estompée au lavage, sans pour autant disparaître totalement. Par précaution, je ne l’utiliserais donc pas sans préservatif.
Ce sextoy est d’un beige rosé, droit, relativement fin, mais long, avec des “veines” en relief sur sa surface.
Malheureusement, il n’y a que très peu de choix en matière de sextoys compatibles, les seuls pouvant faire l’affaire étant ceux conçus exprès par Le Gastronome Sexy pour être utilisés avec leurs fucking machines. C’est-à-dire, à l’heure actuelle, deux tailles de godes et un masturbateur pour hommes, en forme de canette-foune.
Il est dommage qu’ils ne vendent pas d’adaptateurs pour y fixer des sextoys plus génériques : Vac-U-Lock, par exemple, ou, pourquoi pas, un système de fixation façon harnais pour y caler des godes à base plate, ce serait super !
Mode d’emploi
Alimentation
La BlackPill 415 se branche sur secteur. Le câble d’alimentation est en deux parties.
L’une d’entre elles comprend un transfo en son centre, et mesure environ 2 mètres de long. A son extrémité, une prise japonaise (si je ne me trompe pas, en tout cas, c’est la même que celle du chargeur du Fairy Lithium), mais un adaptateur est fourni, donc pas de soucis pour le brancher. La seconde partie du câble comprend le boîtier de commandes, relié au sextoy par un cordon en spirale.
Dès qu’il est tendu, ce câble a tendance à se débrancher au niveau de la jointure entre ses deux parties. Nous avons finalement ajouté une multiprise pour couvrir plus aisément la distance à la prise murale la plus proche, et ainsi évider le tendre le câble : problème résolu.
Installation et réglages
L’orientation et la hauteur du sextoy se règlent facilement, en ajustant le pied de la fucking machine, qui comporte des crans de réglage.
Sur les côtés du socle, on déplie les quatre ventouses, qui augmentent la stabilité de l’engin.
Commandes
La BlackPill 415 se commande grâce à un petit boîtier, situé sur son câble d’alimentation, et muni d’un bouton contrôlant un potentiomètre.
En tournant ce bouton, on ajuste le courant délivré à la fucking machine, et donc, la cadence des allers-retours du piston maintenant le gode. Petit problème : le câble est un peu court, il est relié à l’arrière de la fucking machine, et vu qu’il est en spirale, il a tendance à s’enrouler sur lui-même.
Bref, on a du mal à atteindre les commandes de la BlackPill 415 pendant qu’on l’utilise. En levrette, je me suis retrouvée plusieurs fois en train de tâtonner désespérément aux alentours pour tenter de choper cette satanée télécommande, en vain. Mieux vaut donc être accompagné(e) pour s’en servir : j’ai compté sur Lui pour voler à mon secours à chaque fugue de ladite télécommande.
Utilisation de la fucking machine
Premier essai
Au moment d’essayer pour la première fois la BlackPill 415, n’ayant guère envie de me blesser suite à un coup de zboub en plastique trop fort ou mal dirigé, j’étais un peu inquiète quant à la puissance de l’engin. J’ai donc décidé de commencer tout doucement, à vitesse minimale, et d’aviser ensuite.
J’ai d’abord entrepris de poser la fucking machine sur mon lit. Epic fail : à peine allumée, celle-ci est bêtement tombée sur le côté, entraînée par les mouvements de son piston dans la pente moelleuse formée par son poids sur le matelas. Après quelques tentatives infructueuses, la machine finissant systématiquement couchée de côté comme un gros robot flemmard sans que j’aie pu en faire quoi que ce soit, j’ai compris qu’il me fallait laisser tomber l’idée d’une sieste crapuleuse avec ma nouvelle partenaire robotique : adieu, le lit.
J’ai donc installé la Blackpill 415 sur un tapis de gym, et je me suis placée devant, à quatre pattes, moyennement rassurée.
Coucou, tu veux voir ma… fucking machine ? C’est moi, sur la photo. La fille, pas la machine – sinon, ce serait quand même un sacré miracle que je parvienne à taper sur un clavier avec ce gros doigt.
Bien lubrifier
Avant de commencer quoi que ce soit avec une fucking machine, sachez qu’il faut à peu près quatre hectolitres de lubrifiant. Si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez immédiatement abandonner l’affaire et revenir lorsque vous serez suffisamment équipé(e) en matière de fluides. Et pas n’importe quel lubrifiant : un truc qui glisse vraiment bien. Il ne s’agit pas là d’adoucir le contact délicat entre un vibro et un clito, ni d’ajouter du glissement dans une pénétration tout en douceur… Là, c’est un truc de bourrin, un va-et-vient mécanique, rectiligne, à cadence régulière.
Ne connaissant pas son matériau, je ne saurais dire si le gode de la BlackPill est compatible avec les lubrifiants à base de silicone. Mais lorsqu’on enfile un préservatif dessus, la capote couvre toute la longueur du sextoy, le protégeant de tout contact. J’ai donc pu utiliser du Pjur Back Door sans craindre de fonte sextoyesque.
Après avoir commencé avec trop peu de lubrifiant, j’ai constaté que dès qu’il y a un peu trop de friction, le piston ralentit son mouvement, jusqu’à s’arrêter si la résistance et trop grande. Cela m’a rassurée. Ok, il s’arrête un peu trop facilement, peut-être qu’un chouilla plus de puissance serait le bienvenu, mais c’est une sécurité, qui évite les risques de se faire mal.
Ne pas commencer “à froid”
Mieux valait ne pas commencer “à froid”, et être déjà excitée pour accueillir cette pénétration mécanique dans les meilleures conditions possibles. Je me suis donc emparée du Fairy Lithium, d’abord pour un premier orgasme avant de débuter la pénétration, puis pour avoir un stimulation clitoridienne en complément. N’importe quel vibro ultra-puissant aurait pu faire l’affaire, mais il y avait déjà suffisamment de câble électrique pouvant se débrancher par mégarde comme ça, j’ai préféré opter pour un vibro sans fil.
Les sensations
La Blackpill 415 procure une pénétration forte, régulière, les sensations sont très intenses, et, si on l’oriente correctement (en réglant le pied de la machine pour que celle-ci ait la bonne hauteur et le bonne angle), la stimulation du point G est efficace. Lorsque tout glisse bien, le piston peut aller vite, très vite… Dans cette configuration (Fucking machine + Fairy), les orgasmes puissants se suivent et s’enchaînent, sans trop d’efforts.
Et par rapport à une pénétration “humaine” ?
Par rapport à une pénétration réalisée par un humain : ça y ressemble, et ça n’y ressemble pas à la fois. Ça y ressemble car c’est un sextoy phallique, qui pénètre avec des va-et-vient amples et profonds. Ça n’y ressemble pas, car le mouvement est parfaitement régulier, cadencé, toujours orienté sous le même angle (à moins de re-régler la machine en cours d’utilisation) (et bien sûr, pas de corps au bout du pénis, mais je pense que ça, vous vous en doutiez un peu).
Par rapport aux Stronic (à ma connaissance, seuls sextoys de dimensions sextoyesques dignes de ce nom qui fassent des va-et-vient) : les mouvements du Stronic sont beaucoup moins amples, par saccades, d’où le terme de “pulsateurs”, employé pour les désigner.
Utilisations suivantes
Une fois l’appréhension de la découverte passée, je me suis sentie plus à l’aise pour profiter de la machine, et la découvrir sous tous ses angles.
On n’est pas obligé de s’en servir en levrette. En réglant la fucking machine correctement, on peut très bien l’utiliser de face, ou même, en s’en tenant aux vitesses minimales, lui faire une fellation… Ce qui est amusant, à pratiquer, mais aussi à regarder.
Il faut juste garder à l’esprit qu’à pleine puissance, ça bouge beaucoup. A plat, la machine ne bascule jamais… Mais, selon sur quoi elle est posée, si les ventouses n’adhèrent pas, elle est entraînée par les secousses engendrées par les mouvements de son piston, et a donc tendance à se déplacer. Donc : éviter de laisser des objets fragiles à proximité.
Conclusion
Les bons points :
- C’est une fucking machine. Faire l’amour à une machine, c’est un truc spécial et fantasmatoire… En général, ça arrive dans des hentai ou dans des pornos ciblés, mais… pas en vrai. Bref, c’est excitant. Et quelque part, c’est un peu la classe, même si on pourrait difficilement s’en vanter en société. “Salut, j’ai une fucking machine chez moi, tu viens jouer avec ? Sinon, j’ai aussi des chips, si tu préfères faire un truc moins sexuel. Hé, mais, pourquoi tu pars en courant ?”
- Les sensations sont intenses, et le orgasmes, au rendez-vous : c’est bourrin, mais efficace.
Les mauvais points :
- Elle ne tient pas dans mon sac à main. Bien évidemment, c’est l’exact opposé d’un petit sextoy mignon et discret. Mais on ne demande pas à une fucking machine d’être petite, ni mignonne, ni discrète.
- Un peu plus de puissance (là, quand je dis “puissance”, je ne parle pas de vitesse, mais de capacité de poussée), et ça aurait été encore mieux.
En bref
Utiliser la BlackPill 415 est une expérience originale, agréable et très drôle. Concrètement, il y a bien certains points qui pourraient être améliorés : la puissance, le matériau constituant le gode, la compatibilité avec d’autres sextoys… Mais l’objet est source d’excitation et de plaisir, à un point tel qu’on lui pardonnerait tous ses défauts… Même si l’on ne dirait pas non à son grand frère version plus évoluée si celui-ci se présentait.
Je sais que c’est un accessoire pas très discret et assez cher, et que tout le monde n’a pas forcément l’envie ou le budget de s’offrir une fucking machine. Mais si vous en avez envie, et si vous disposez du budget nécessaire pour l’acheter, foncez ! C’est hyper-rigolo, excitant, fantasmatique, et ça fait jouir de manière super intense.
Note finale du test
Les plus
- C'est une fucking machine : en soi, c'est déjà excitant et fantasmatoire
- Bourrine, mais efficace
Les moins
- Encombrante
- Prix élevé
- De nombreux défauts liés au fait qu'il s'agisse d'un modèle premier prix
Merci à Le Gastronome Sexy de nous avoir fourni la fucking machine BlackPill 415 pour ce test
Beau test !!
Les machines Mitrasexe et Blackpill sont en rupture de stock !
Les prochaines machines que nous allons recevoir seront plus puissantes, le voltage des moteurs a été augmenté. (Milieu avril)
On s’active également sur les accessoires.
A quand un comparatif avec la mitrasex450?
Joli cul egalement, c’est la que l’on regrette ne pas etre une fucking machine.. ;-)
A plus dans le bus!
Bonjour, et merci pour votre commentaire :-)
Lorsque vous dites “en rupture de stock”, si j’ai bien compris, ça veut dire qu’il est toujours possible d’en acheter une, mais qu’il faut attendre milieu avril avant de la recevoir, et que la machine reçue sera plus puissante que celle testée ici ?
Pour le comparatif avec la Mitrasexe 450, c’est volontiers ! Si vous nous envoyez une Mitrasexe 450, bien entendu ! ;-)
(Et merci pour le compliment)
A bientôt
Coucou Elle,
Content de voir ce test, il est très sympa. Je suis en train de faire le test de la Mitrasexe ;-) on va pouvoir comparer les résultats. C’est la saison des Fucking Machines sur le web des sex-toys Français ! A bientôt.
Bonjour, merci pour ce test. C’est assez sympa de lire des tests, j’avoue que ça m’a toujours interpelé ce genre de machine.
Le côté contrôle absolu est assez intéressant, l’avantage c’est qu’il est possible vraiment de régler l’intensité et d’accélérer à fond au moment opportun ce qui je suppose entraine des orgasmes assez intenses…
Le seul truc dommageable sur les sextoys de ce style (idem niveau vibro ou l’équivalent masculin via le cobra libre) c’est qu’on garde “trop le contrôle”. Il manque des programmes ou on ne contrôle pas les phases d’avant, genre des programmes à phase aléatoire, ne pas savoir quand on va être entrainé jusqu’au bout etc. C’est un peu le gros reproche de ces sextoys. On garde justement trop le contrôle et c’est trop périodique; je trouve qu’il serait aussi bon d’avoir une part d’aléatoire (des programmes aléatoires) quitte à pouvoir reprendre le contrôle sur le final pour être sûr qu’il ne fasse pas une pause à ce moment là. :D
En gros l’idéal je trouve serais un programme aléatoire sur les phases, qui commence bien doucement, fait quelques petites accélérations progressivement puis ralenti et ainsi dessuite, sans qu’on ne puisse savoir quand il va enchainer à fond pour nous emmener au sommet…
Je serais curieux de savoir si vous avez la possibilité de tester avec l’accessoire pour “monsieur” et voir ce que lui “en penserait”?
En tous cas respect pour les photos, je serais bien incapable de poster de telles photos. ;)
Photos qui sont franchement irréprochables….
@NXPL: Salut NXPL !
Oui, on va pouvoir comparer ! D’ailleurs, ça pourrait être sympa, à l’occasion, de faire des comparatifs inter-blogs… Reste à trouver un format adéquat pour que ça soit pratique (et du temps libre, aussi)…
Tant que j’y pense… On m’a posé une question sur le Nobessence Fling cet aprem (apparemment, il ne serait plus disponible en France, donc, je l’ai googlé pour vérifier cela)… Pas de trace de Fling dans la moindre boutique, mais je suis tombée sur “Comment bien tromper son mari ou sa femme, point fr” (pour des raisons évidentes, je ne mets pas de lien, mais ça se retrouve facilement), qui, apparemment, recopie allègrement quelques-uns de tes tests… Et vu la gueule du site et la manière dont les articles sont copiés-collés, je doute fort que ce soit avec ton autorisation.
@Tinu : Bonjour Tinu,
Merci à toi pour ce commentaire :-)
Pour ce qui est du côté “contrôle absolu” de l’engin, c’est assez relatif, car encore faut-il parvenir à mettre la main sur le boîtier de réglage sans trop tâtonner, ou avoir quelqu’un qui le fait à ta place… Sinon, faute de (là je parle de l’utilisation que nous avons expérimentée, c’est-à dire fucking machine avec un gode au bout), à la moindre “glissade” (mauvaise évaluation des distances, trop avancé, etc…) tu te retrouves à devoir attraper au vol un pénis en plastique fugueur !
Les modes aléatoires des vibros, perso je trouve ça rarement très bien fait. Je ne sais pas quel effet font les versions masculines (et Lui n’a jamais testé le Cobra Libre donc il ne peut pas décrire sa version pour le moment), mais en matière de vibros féminins, c’est surtout une affaire de “oh, tiens, un arrêt surprise du vibro ! oh, la puissance a diminué pile quand ça devenait chouette !”… Bref, frustrant…
Par contre, le programme aléatoire tel que tu le décris, ça serait chouette, en effet !
Pour ce qui est d’un test avec l’accessoire destiné aux hommes, eh bien, de notre côté, nous serions partants, maintenant il faut voir ce qu’en pense Le Gastronome Sexy…
Pour les photos, c’était rigolo à faire. Les ventouses de la fucking machine adhéraient pas vraiment au tissu servant de fond, du coup, machine allumée, le tout était un brin instable :D
Bonjour, c’est bien pour ça que j’ai bien précisé, avec un contrôle sur la fin. :)
En gros qu’on ne soit pas maitre de la montée et de quand on va approcher de la fin, mais que lorsqu’on y ait on reprenne le dessus pour finir en accélérant de plus en plus. :o (histoire que comme tu le dis il ne choisisse pas ce moment là pour ralentir…)
Pour les photos je parlais aussi sur le côté “nudité” il faut oser. ;)
Ma femme aimerait faire cette expérience, mais l’idéal serait de l’essayer avant et par la suite on pourrait l’acheter. Je ne sais pas s’il y a un endroit ou qu’on pourrait faire cette expérience avant l’achat.
Si un sexshop classique proposait d’essayer les sextoys avant achat, ça voudrait très certainement dire que les objets vendus seraient potentiellement usagés… Beurk !!!
Par contre, il existe plusieurs sites spécialisés dans la location de fucking machines (Google est ton ami). Je ne sais pas s’ils louent en France, mais ça vaut peut-être le coup de te renseigner de ce côté-là.
Sympa ce test ! A force d’en voir dans des vidéos de faux zizis pistonnant de vrais minous, ça faisait un moment que je me demandais si ça valait le coup. Et je me demande encore si ça vaut le coup pour une copine extravagante qui viendrait jouer à la maison. Oui, ça s’offre pas à l’arrache ce truc !
Faudrait un test du Monkey Rocker si possible.
Vous gardez les jouets ?
P.S. Jolie croupe, coupe de cheveux et menton. Je suppose que le visage complet on le verra jamais.
Bonne continuation en tout cas !
Superbe test. Oui cette machine est bien mais reste limité pas rapport à son prix :) Il y as les FuckerMachine de chez Sexepanel elel son top :)
J’ai acheter ma FuckerMachine F03 chez Erosshop.fr est je peux vous dire que c’ets de la qualité. Rien à voir avec la BlackPill.