Pulsateur Fun Factory Stronic DREI

Test du pulsateur Fun Factory Stronic DREI

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Le troisième pulsateur de Fun Factory, le Stronic Drei, est enfin sorti !

Nous avons déjà testé les deux premiers modèles de la gamme Stronic : les Stronic EINS et ZWEI.

Test du pulsateur Fun Factory Stronic DREI

J’ai adoré le premier modèle et ses bonds saccadés, mouvement acrobatique auquel jamais sextoy n’était parvenu auparavant. Le second, doté du même moteur et des mêmes commandes, m’a encore plu davantage.

En apprenant la sortie du Stronic DREI, je me suis donc empressée de contacter Fun Factory, qui nous a permis de le tester.

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Packaging du Stronic Drei

Packaging du Fun Factory Stronic Drei

L’emballage du Stronic Drei est très semblable à celui du Eins et du Zwei. Il ressemble beaucoup à celui des autres sextoys de la Génération 4 de Fun Factory.

Avant de découvrir le sextoy, on soulève d’abord une couche de carton à “pois” en relief, puis une couche de carton métallisé lisse.

C’est bien présenté, c’est classe au déballage, mais ça ne permet pas de stocker le sextoy à long terme.

Déballage du Stronic DreiDéballage du sextoy

 

Fun Factory nous a fourni un étui, le Toybag, qui se vend en supplément. Celui-ci ne coute pas très cher, entre 4 et 7 euros selon les dimensions souhaitées. Mais il faut y penser au moment d’acheter l’engin, ou se procurer un autre type de sachet qui permettra de le ranger sans encombre.

Je ne sais pas si le Toybag que nous avons reçu est celui de taille L ou M. En tout cas, le Stronic Zwei y rentre tout juste, donc j’aurais tendance à vous conseiller de plutôt choisir au minimum le L, voire le plus grand, le XL.

Le Stronic Drei de Fun Factory et son Toybag
Le Stronic Drei et son Toybag

Le sextoy

Aspect

Le Stronic DREI est très courbé, nettement plus que ses deux prédécesseurs.

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Les Stronic Drei et Eins côte à côte

 

Visuellement, il ressemble un peu à un mélange entre le Fun Factory Tiger G4, pour la structure de sa surface, et les deux autres Stronic, pour sa poignée.

Comme le Tiger G4, il est recouvert, sur toute sa longueur ou presque, de stries latérales.

Ses dimensions sont assez conséquentes : 24 centimètres de long, dont 13 cm insérables, pour un diamètre d’environ 4 centimètres. Il est du même ordre de grandeur que le Stronic Eins, un chouilla plus gros que le Zwei et plus large que le Tiger G4.

Le pulsateur Stronic Drei de Fun Factory

Le modèle que nous avons reçu arbore une belle couleur turquoise. Le nom exact de la teinte est “petrol”. La photo le rend un peu plus bleu qu’il ne l’est vraiment : en réalité, il a quelques nuances de vert.

Mais pour les inconditionnels des sextoys roses, il existe aussi en fuschia. Toutefois, pour ma part, je le préfère de loin en turquoise.

Le Tiger G4 et le Stronic Drei
Le Tiger G4 et le Stronic Drei

Texture et matériaux

Le Stronic Drei est constitué de silicone médical. Comme tous le sextoys de la marque Fun Factory, d’ailleurs. Au déballage, il sent le propre, sans arrière-odeur louche.

Les bosses en relief sur sa surface sont plus marquées que celles qui ornent le Tiger G4, et leur forme est “orientée”. Si l’on parcourt avec le doigt le sextoy de son extrémité vers sa base ou de sa base vers son extrémité, on n’a pas la même sensation tactile, alors que le Tiger G4 est identique dans les deux sens.

Fun Factory Stronic Drei et Tiger G4
Fun Factory Stronic Drei et Tiger G4

Alimentation

Le Stronic Drei est rechargeable. Son chargeur, le Click’n charge, est propre aux sextoys Fun Factory. Il adhère à l’engin grâce à des aimants, au niveau des deux “pouics” métallique sur sa poignée.

Le Stronic Drei et son chargeur, le Click'n charge

La batterie des Stronic semble drôlement costaud. En effet, préférant le Zwei au Eins, je n’avais pas utilisé le Stronic Eins depuis quelque temps. Lorsque je l’ai ressorti de son tiroir pour le comparer au Drei à l’occasion de ce test, je l’ai retrouvé aussi chargé que je l’avais laissé.

Le Stronic Drei et son chargeur

Utilisation

Indications et contre-indications

Avec le mode d’emploi se trouve une note d’avertissement, que je n’avais pas remarquée chez les deux modèles précédents.

L’usage du Stronic est contre-indiqué pour les personnes portant un pacemaker. Et pour cause, les pulsations du Stronic proviennent du mouvement d’un aimant. Pour le Eins et le Zwei, même mécanisme, donc même précautions.

Ne pas utiliser le Stronic Drei si l'on porte un pacemaker

Le Stronic Zwei s’élargit suffisamment au niveau de sa base pour convenir sans risque à une utilisation anale. On ne retrouvera donc pas le “verboten trilili” qui m’avait fait marrer sur la notice du Eins.

Par contre, il est gros, et strié, ce qui ne facilite pas l’insertion. C’est donc réservé aux trililis courageux. Perso, je n’ai pas tenté.

Modes de pulsations

Le Stronic Drei a dix modes, qui sont rigoureusement les mêmes que ceux du EINS et du ZWEI.

Plutôt que de reformuler pour répéter la même chose, je vais donc copier-coller la description que je vous en ai faite dans mon test du Stronic EINS.

A l’allumage, il est sur un mode de pulsations régulières, qui est le mode le plus lent.

Si l’on va vers l’avant (« + »), on découvre trois autres modes réguliers d’intensité constante (nommés Samba, Rumble et Quicky), de plus en plus rapides.

Si l’on va encore vers l’avant (« + »), on rencontre trois rythmes plus fantaisistes :

  • Le premier, Roller Ball, d’intensité constante, part de pulsations lentes. Puis il accélère brusquement le rythme, qui devient soudain très rapide, et ralentit enfin progressivement.
  • Le second, Vienna Waltz, de fréquence constante, augmente peu à peu d’intensité jusqu’à atteindre un pic. Il retombe ensuite, sans transition, à l’intensité minimale.
  • Le dernier, Rumba, d’intensité constante, alterne sans transition des périodes de pulsations lentes et des périodes de pulsations rapides.

Si l’on repart au point d’allumage et que l’on va vers l’arrière (« – »), on découvre trois nouveaux modes par « vaguelettes » (Rattle, Gallop et Dirty Dancing), alternant pulsations d’intensité très faible et pulsations fortes.

Commandes du sextoy

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Au niveau des commandes, c’est pareil que pour les deux autres Stronic : trois boutons : « Fun », « + » et « – ».

Donc là-aussi, copier-coller, cette fois depuis mon test du Stronic ZWEI.

  • “Fun” permet d’allumer (une pression longue) et d’éteindre (une pression brève) le sextoy.
  • “+” et “-“ permettent de sélectionner un mode de vibrations.
  • Le sextoy s’allume sur le quatrième mode. De là, on peut soit partir vers l’arrière avec le bouton “-” et accéder à trois autres modes, soit partir vers l’avant avec le bouton “+” et accéder à six autres modes.
  • Les modes ne sont pas “en boucle”. Lorsqu’on atteint le dernier mode de vibrations, on ne revient pas au premier par une pression sur “+” (et, de même, lorsqu’on atteint le premier mode, si l’on ré-appuie sur “-“, on reste sur le premier mode).

 

Comme les deux Stronic précédents, le Drei est équipé d’un système de verrouillage. Celui-ci lui évite de pulser intempestivement pendant son transport.

S’il ne s’allume pas alors qu’il est chargé, il faut appuyer simultanément sur “Fun” et “+” pendant quelque secondes pour le déverrouiller. Pour le verrouiller, il suffit de faire la même chose avec les boutons “Fun” et “-“.

Efficacité

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Fun Factory Stronic Drei et Fleshjack Boys Jason Visconti Dick

 

Pour insérer le Stronic DREI, le lubrifiant est quasi-obligatoire, et en quantité. Son diamètre est imposant, et sa surface est texturée.

Il est recommandé d’utiliser un lubrifiant à base d’eau, mais j’ai aussi tenté avec le Pjur Back Door, qui contient du silicone en faible proportion. Bilan, cela ne semble pas l’avoir endommagé.

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Je vous ai dit en début d’article que le Stronic DREI avait une forme très courbée. Pendant l’utilisation, son extrémité vient appuyer, sans effort et de manière prononcée, pile contre le point G, stimulant efficacement celui-ci.

De plus, on sent parfaitement la forme des motifs sur sa surface, qui sont agités contre les parois du vagin par les pulsations, même lorsqu’on n’apporte pas de mouvement manuel en complément.

Le pulsateur Stronic Drei de Fun Factory

Ces deux caractéristiques combinées permettent une stimulation très intense, le point G et le reste du vagin étant sollicités simultanément de deux manières différentes.

En faisant quelques efforts pour faire faire des va-et-vient un peu plus amples au Stronic DREI, c’est encore mieux. Et si en plus de cela, on ajoute un vibro sur le clito, c’est une déferlante de sensations simultanées.

LE Stronic Drei - Objets de Plaisir

Contrairement au Stronic premier du nom, qui n’est pas d’une grande efficacité si l’on ne se démène pas le poignet pour l’aider à se déplacer plus fort et plus amplement, le DREI est tout à fait utilisable, et efficace, sans efforts manuels.

Il suffit pour cela de le maintenant en place, bien enfoncé, et de le laisser faire son boulot tranquillou, pendant qu’un vibro s’occupe du clito. Bien sûr, c’est moins détonant qu’en agitant le sextoy comme un prunier, mais ça marche toujours.

Stronic EINS et DREI
Stronic Eins et Drei

Conclusion sur le Stronic Drei de Fun Factory

Les bons points :

  • Les pulsations : avec ses deux frères le EINS et le ZWEI, le Stronic DREI fait partie des trois seuls sextoys à proposer cette spécificité, qui est particulièrement chouette.
  • Sa forme très courbée permet au Stronic DREI d’atteindre parfaitement le point G, encore mieux que le EINS et le ZWEI (qui à l’origine était censé cibler la prostate, pas le point G féminin, donc on lui pardonnera).
  • Les motifs texturés sur sa surface permettent de ne pas “seulement” axer la stimulation sur le point G.
  • Sa batterie tient bien la charge.

Les mauvais points :

  • Son prix (154 euros à l’heure actuelle sur le site officiel de Fun Factory). C’est de la qualité, mais la qualité se paie.
  • Le manque d’accessoires : comme les autres sextoys Fun Factory, il se vend sans étui.

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J’aime beaucoup les deux autres Stronic, le Eins et le Zwei, mais le Drei est mon préféré. Et de loin.

J’ai déjà décrit ce qui me plaisait énormément chez les Stronic Eins et Zwei.

Retenons donc surtout sur ce ce que le Drei a de plus. Une très chouette texture, et une tête chercheuse qui vient heurter le point G d’elle-même, sans même avoir besoin d’incliner ou d’orienter le sextoy. Ce qui fait de lui un sextoy pénétrant redoutablement efficace, même sans fournir le moindre effort.

 

Note finale du test

Pulsateur Fun Factory Stronic DREI
9 / 10

Look et originalité

8/10

Texture et matériaux

10/10

Efficacité

10/10

Ergonomie et aspect pratique

8/10

Rapport qualité/prix

9/10

Les plus

  • Les pulsations
  • Sa forme adaptée à la stimulation du point G
  • Sa texture striée
  • Sa batterie costaude

Les moins

  • Prix élevé
  • Manque d'accessoires

 

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Collectionneuse compulsive de sextoys, testeuse pointilleuse et exhibitionniste débutante.