Un sondage a récemment révélé que 50,77 % des Américains possèdent un sextoy.
Le site XBiz précise que 1000 personnes de plus de 18 ans ont participé à cette étude.
Les occurrences des réponses diffèrent en fonction du sexe des personnes interrogées.
Les Américaines et leur sextoy
57% des femmes ont admis posséder un sextoy.
Vibromasseurs clitoridiens, rabbits, godes ou vibros aspirants, le sextoy a définitivement trouvé sa place parmi le public féminin.
On en trouve de toutes les formes, de toutes les couleurs, avec toutes sortes de fonctionnalités, allant du plus basique au plus technologique. Bref, chacune pourra se procurer le jouet correspondant à ses désirs.
Pour une femme occidentale, avoir un sextoy dans sa table de chevet est entré dans la norme. Finis les prétextes du genre “euh, c’est un appareil de massage pour la nuque…”.
Le sextoy peut être rigolo, high-tech, luxueux, ou les trois à la fois, il s’agit désormais d’un objet de consommation courante.
Les Américains et leur sextoy
Et 44% des hommes ont affirmé qu’ils possédaient un sextoy.
Le sextoy ne fait pas encore tout à fait partie intégrante des mœurs masculine. Et pour cause, les jouets érotiques pour hommes ont évolué plus lentement.
Ils ont longtemps ressemblé à des parties anatomiques tronquées, avec une connotation un peu glauque, un peu beauf, celle de la poupée gonflable ou de la vaginette ramollo et gluante.
Mais récemment, de nouveaux types de sextoys masculins sont sortis, avec des aspects plus sobres, et des fonctionnalités faisant appel aux geeks ou procurant simplement de nouvelles sensations. Le masturbateur s’est relooké, et s’est parfois mis à vibrer, ou à devenir connecté.
C’est pourquoi il a grimpé en popularité, trouvant du succès auprès de plus d’un tiers des hommes.
Une étude biaisée ?
On peut toutefois s’interroger sur l’authenticité de ces statistiques. En effet, ce sondage provient de la boutique en ligne Adam et Eve, qui vend des sextoys. Si l’on présume qu’ils ils se basent sur leur clientèle pour obtenir ces résultats, les chiffres semblent même un peu bas.
Toutefois, bien que cette étude ait été financée par la marque, c’est un organisme indépendant qui l’a réalisée.