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, le il y a 3 années et 6 mois.
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Messages
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Intéressant. Dommage que Brussel soit si loin…
“Bar, sans alcool,” +1. L’alcool lève les inhibitions mais rend con. Le BDSM est comme un art martial. Il faut garder le contrôle en permanence, à commencer par soi.
“Sans alcool et dans drogue” : tout ce qui altère le fonctionnement du cerveau est interdit en SM (et ailleurs aussi – mais ça c’est personnel).
Le BDSM et le SM sous mauvais fonctionnement cérébral, c’est de l’inconscience
Merci Curieux.
GC
Il y a un bon site qui informe des actualités sur Paris : http://www.paris-m.org
Il y figure, notamment :
“Pour beaucoup de pratiquants du BDSM, les préparatifs d’une session, séance, rencontre, quel que soit son nom, constituent une grande source de plaisirs, en tant que tels et eu égard à leurs effets excitants. Bien des manières de se préparer mentalement, physiquement ou juste érotiquement existent, sous formes de correspondances, consignes, habillements.”
On retrouve donc la notion de “code vestimentaire” dont je parlais.
GC
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Boulette = erreur, etc.
En bref, j’ai posté un truc par inadvertance et je l’ai effacé et remplacé par “boulette, sorry”, faute de pouvoir supprimer le message. :D
Elle, voici un travail au fouet court dans la première partie (ce n’est d’ailleurs pas avec lui qu’on commence, mais bon) – ce n’est pas courant à voir.
https://fr.xhamster.com/movies/1115290/bdsm_slave_gay_boy_bound_fucked_2_schwule_jungs.html
Pour le reste la préparation du soumis n’est pas bonne, ni les accessoires, mais ce n’est pas ici le sujet.
Olivier
J’ai découvert à Berlin (les Allemands sont performants en sm, avec rigueur, bien sûr) la technique de l’électro.
Le soumis avait les yeux bandés et un bracelet à double attache (bien ajusté aux poignets et chevilles, pour la résistance aux tractions). On lui a mis une électrode dans l’anus (tenue par une ceinture et deux sangles autour des fesses) et l’autre électrode autour du sexe.
L’avantage était que le courant ne passait pas par le coeur.
On l’a ensuite attaché couché sur un matelas.
Il s’agissait de tester l’ampérage (la puissance du courant) et la fréquence des pulses.
L’ampérage fait se cambrer et la fréquence excite le sexe.
J’étais avec un copain qui voulait savoir s’il était Dom’, soum’ ou les deux.
On a fait de nombreux tests en variant l’ampérage et la fréquence. C’était très bien et très intéressant.
L’ampérage faisait se cambrer, hurler, tirer, etc (vive les chaînes et le bâillon) et la fréquence (à basse puissance) provoquait l’érection.
Mais l’intérêt était aussi du côté du public néophyte. Les nouveaux (velles) venu(e)s, au début, fermaient les yeux et se bouchaient les oreilles.
Peu de temps après, ils (elles) regardaient en souriant.
Une demi-heure plus tard, ils (elles) étaient aux commandes et en redemandaient.
De vrai(e)s sadiques se sont découverts. Comme presque toujours, les dames se révèlent les plus sadiques les premières, et le plus fortement. On s’est refixé rendez-vous dans un an, en tenue de Dom’ sm. je suis curieux de voir les progrès.
Olivier
Aux personnes intéressées, je peux envoyer les contrats (élèves et soumis), le programme des cours et sujets, des dossiers tout complets, etc.
Olivier
bonsoir je suis la compagne de “Purple” qui m’a parler de vos cours de SM j’ai lu votre contrat je trouve votre univers fascinant mais malheureusement je ne pense pas que l’on puisse vous rendre visite du fait de la grande distance a mon grand regret j’aurais sincèrement aimer tenté l’expérience a vrai dire j’ai un coté dominatrice que je ne cultive pas dommage sa aurais pu être fun.
Heureux de vous croiser, Aedimes.
Il n’y avait pas de marketing dans ma démarche.
Je suis content que vous ayez découvert et apprécié – si vous avez des questions, je répondrai avec plaisir, tant que je suis sur ce forum où ailleurs
A mon avis vous devez avoir tout ça près de chez vous, dans le sud, à Marseille notamment.
A bientôt j’espère
Olivier
PS vous pouvez en dire plus sur vous en complétant votre fiche. Cliquez sur ma photo (ou celle de Purple) par exemple, vous verrez l’idée de la fiche personnelle
Voilà un travail au trapèze qui n’est pas mauvais du tout. Il s’agit d’un petit cours en groupe.
Le trapèze n’est pas trop haut non plus, ce qui permet de travailler longtemps et sans peine.
L’avantage du trapèze est qu’il limite la personne au centre de la pièce, qu’on peut tourner autour d’elle sans peine et la faire bouger comme on veut par impulsions.
La petite chaîne entre les jambes empêche les ruades tout en permettant de “danser” un peu.
Vraiment cette vidéo est intéressante à plus d’un titre, même si elle n’est pas neuve.
A voir sans hésiter
Je dois admettre que je ne comprends pas cette scène. La création de souffrance physique pour elle même me laisse totalement indifférent. Je crois que je ne peux concevoir cette souffrance physique qu’au service d’une domination sexuelle. Ou liée à.
Je comprends que vous ne compreniez pas. J’ai demandé à un pratiquant de venir témoigner ici mais il ne l’a pas encore fait. Je ne sais pas s’il va se faire membre pour vous éclairer.
Il y a aussi le phénomène de la sublimation…
Pour le reste, j’apprécie
1, la dextérité de la dominatrice à attacher poignets et chevilles
2, sa puissance au martinet
3, combien certaines élèves-apprenties manquent de tonus sur les deux soumises attachées, par rapport à la dominatrice
4, qu’aucune apprentie ne se soucie des couinements de la soumise (car alors on n’en fini plus de se demander si on continue ou pas) : ça c’est une très bonne chose
Je me demande si ce n’est pas plus productif de mettre un bandeau à la soumise (stress et effet de surprise + ne pas savoir qui a frappé fort ou pas, comme ci ou comme ça). Personnellement je bande quasi toujours les yeux avant de commencer.
Ici, donc, on comprend l’utilité d’une formation au sm avec yeux bandés du sujet d’entraînement
Olivier
A la limite, je pense que je peux comprendre si je conçois le SM comme un art martial ou un sport de combat.
Dans le premier, les actes sont très codifiées. Dans le second, la souffrance et infliger la souffrance fait partie du jeu, même si c’est un élément annexe, voir même qu’on nous entraîne à y être indifférent.
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