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Méluzine,
La raison pour laquelle je te demande des liens est aussi que je pense que je viens de plus loin que ça ne peut te penser imaginable.
Disons que quand tu t’adresses à moi, il faut que tu réalises que tu es comme une scientifique de pointe de notre monde qui s’adresserait à un paysan du moyen-âge.Mon âge peut y jouer un rôle, le milieu social, le lieu de vie.
Pour te citer un exemple, un de mes amis d’enfance a eu la question suivante au sujet d’une couple de lesbienne que nous connaissions: “je me demande laquelle des deux fait l’homme?”. J’ai dû lui expliquer que sa question était absurde.Dans le milieu dans lequel j’ai grandi, l’homosexualité était à la fois taboue et méprisée.
Un homme homo n’était pas “un vrai homme”, limite “un pédophile”, une femme homo… et bien ça ne pouvait pas exister. La transidentité? On t’aurait regardé comme une martienne! A la limite il y avait les “travelos”. Perçus comme des malades mentaux dangereux.
Internet n’existait pas à l’époque, et les bibliothèques locales ne parlaient pas de ça. A contrario, ma famille considérait que on ne devait jamais agresser des gens pour ce qu’ils sont et que chacun avait le droit de vivre en paix tant qu’il n’emmerdait pas son voisin. Ca n’était pas le cas de toutes les familles du coin, loin de là. Mais ayant eu des ancêtres qui avaient vu les camps d’extermination, on avait une opinion différente.Le net m’a offert une porte sur le monde et m’a permis de découvrir beaucoup de choses, de discuter avec beaucoup de gens. Mais quand j’y ai eu accès, j’étais déjà “vieux”. C’est par le net que j’ai découvert le rapport Kinsey, par exemple. C’est en discutant avec une hackeuse lesbienne que j’ai eu un aperçu de son monde.
Le porno, je sais que c’est assez irréaliste, autant que le cinéma en général d’ailleurs.
Je l’ai mentionné dans ce post à cause d’un couple amateur dont la femme, transgenre, me semble physiquement séduisante. Ce qui me surprend beaucoup parce que le corps d’un autre “mâle” me répugne au niveau… instinctif (raison pour laquelle je regarde plus souvent du porno homo femme que du porno cis). Donc pour que cette femme m’ait semblé séduisante, c’est que mon instinct/pulsions/inconscient à pu être trompé, ça m’impressionne.Note que si j’observais quelqu’un agresser un trans parce que trans, j’interviendrais immédiatement (ça m’est déjà arrivé). Les normes telles que “il ne faut pas s’impliquer” me dépassent aussi, et ça je crois que ça n’est pas si mal :). Et puis j’en ai été victime, donc…
“Bref, un échantillon très très restreint de visiteurs, et, sachant qu’en 2019, les forums c’est de moins en moins populaires sur le net ( pas spécialement sur objetsdeplaisir hein, sur tout l’internet !), et que ca demande beaucoup plus de modifications qu’on pourrait le penser.. et bien.. voila”
Oui, c’est vrai, j’ai été surpris du phénomène.
Il y a quelques temps j’ai voulu me renseigner sur un sujet technique assez pointu (genre le vernissage de piano à queue), ben les forums disponibles sont rares et ne sont quasiment plus fréquentés. Je suppose que le savoir est passé dans les réseaux sociaux, mais lesquels?
Ca sent la pêche aux moules (sorry!) (En résumé, on en balance un max et on espère qu’un ou deux crétins/ pigeons accepterons. Phishing…).
Bon thème par contre pour un sujet:
Pour ou contre le poil?
Entre le zéro façon pubis de gamine prépubère et le tablier de forgeron, quelle est votre choix?
Perso, je suis partisan du ticket de métro: du boulot esthétique, pas gros chose de différence niveau sensation.
Niveau mec, aucune idée. J’ai essayé la tonte, ça a été saignant…
Et je comprends les fétichistes du poil: en un sens, chaque poil c’est comme d’avoir fait l’amour à cette femme. Comme un trophée (je vais me faire haïr…)
“Ta culture est fascinante.”
Merci :) Je suis très “doué” pour assommer les gens avec! En général ils s’enfuient en courant :D.
“Un animal de tatoué sur le corps avec pour supplément qu’il est en coït avec une femelle d’une autres espèces… Ça doit être dur a assumé”
Ah oui!!! Faut voir à quel niveau de soumission vous en êtes…
Mais l’animal seul, par exemple les animaux symboliques des divinités, c’est plus discret. Surtout dans la zone prévue, surtout si elle est cachée par un slip ou un maillot de bain. Ou un pansement au cas où. On peut dire que les seuls qui la verront seront dans un contexte particulier (ou médical*).
Ou alors tu peux taper dans le végétal. Une plante grimpante (ex: chèvrefeuille, lierre, etc.) qui enlace un arbre (ou pourquoi pas une statue de vénus?) par exemple…
Tiens on combine les deux: mythologie biblique: le serpent (le pêché) qui enlace le pommier (l’arbre de la connaissance) :D. Juste avant qu’Eve et Adam… croquent la pomme!
J’ai songé à me faire tatouer à une époque, je m’étais dis qu’avant de le faire pour de bon je me ferais un tatouage temporaire (genre henné) pour voir ce que ça donne au quotidien.
* à propos de médical, lu une histoire d’un tatouage qui avait provoqué des ennuis car sur la colonne vertébrale. Apparemment ça gênait l’inspection de la zone. A vérifier. Et bien sûr l’épisode du Dr House où un patient se retrouve en IRM avec des tatouages faits en prison à l’arrache (donc contenant du fer): douleur assurées. A vérifier aussi.
“Effectivement je ne pouvais pas trouver… :D”
J’admets. Me wrong…
D’un autre coté…
Le tatouage/marquage au fer/ etc. destiné à marquer les prostituées était en général un tatouage destiné à indiquer à tous que la personne était (est… :-( ) un être d’une condition inférieure ou appartenait à une personne donnée (maquereau). Il devait donc être visible par tous (localisation) et n’était pas nécessairement beau ni raffiné. Et ce n’est pas romantique du tout :-(
Exemple: la “croix des vaches”: une scarification en croix sur les joues destinée à montrer que la prostituée avait tenté de se sauver (et avait été reprise). Et donc pour l’empêcher de se sauver car toute personne qui l’aurait vu avait pour devoir de la dénoncer.
On pourrait retrouver un équivalent dans les tatouages des prisons russes soviétiques. Les homos passifs, ceux qui avaient trahis la loi/règlement des voleurs, etc., étaient tatoués sur le visage de différentes marques de manière à indiquer à tous que la personne était un inférieur. Cela avait pour effet que les autres criminels avaient pour devoir de le maltraiter, le traiter en inférieur. Et qu’il ne pouvait pas y échapper sous peine de traitements pire.Dans la mesure ou un tatouage “c’est pour la vie” (les méthodes d’effaçage sont assez radicales et pas toujours efficaces), je ne pense pas que ce serait une bonne idée que ta compagne se fasse tatouer quelque chose issu d’un contexte aussi violent que tout ce qui est rattaché à la prostitution forcée… Si dans 10ans, 20ans elle change d’avis (ou si l’époque devient moins tolérante), ça risque d’être compliqué à vivre. Ou alors vous pourriez prendre un tatouage issu des symboles des associations de travailleur du sexe (ex: Strass), mais là le sens est différent…
Pourquoi ne pas créer vous même votre tatouage, un truc qui signifierait quelque chose pour elle et toi seulement mais que personne d’autre ne pourrait déchiffrer?
Y a pas mal de possibilités. Par exemple si ton animal fétiche est le lion et elle le cheval (et que vous pensez au contexte dominant/dominé), représenter un lion dévorant/s’accouplant avec une jument?Tiens, du coté des animaux, il y en a pas mal qui symbolisent/ on symbolisé la luxure…
Par exemple une chatte en chaleur, dessinée dans la posture qu’elle adopte à ce moment là (le cul en l’air et la queue sur le coté):
(Tiré d’un blog de vétérinaires).
Pour en avoir possédé une je peux vous dire que quand elle avait ses chaleurs, j’étais au courant!!!
Si en plus la chatte dessinée est noir, bonus! Le chat noir ayant en occident une mauvaise réputation (animal des sorcières, anarchisme (chat noir hérissé))…Ou une lapine ( nom scientifique Oryctolagus cuniculus, ancien français connil, dérivé d’un terme latin signifiant “fendu” (allusion au bec fendu?)… ayant aussi donné “con” au sens sexe ou “cunt” en anglais…). Ou une lièvre (hase). Ou une truie (bon, pas facile!) animal symbolique de la déesse Freyja (déesse de l’amour nordique).
A propos de déesse il y a aussi Vénus/ Aphrodite. D’après wikipédia, elle a pour symboles “le miroir et la ceinture magique (le ceste)””le myrte, la colombe, le cygne et la pomme”. Voir aussi les attributs d’Aphrodite. Je me demande si le lièvre n’en fait pas partie…
Tant qu’on y est sur les déesses, remontons plus loin avec la déesse mésopotamienne Inanna qui aurait donné lieu à de la prostitution sacrée (des prêtresses se prostituaient en l’honneur de leur déesse). Quand on voit sa représentation en déesse de l’amour, ça se pose là:
En version plus primitive du sexe (féminin), on va retrouver le simple triangle, pointe en bas, avec une “fente” verticale… (cf le “centre” de l’image ci-dessus) (bon les mecs étaient représentés par un simple phallus, ça gagnait du temps je suppose…).
Bref, y a pas mal de possibilités en fait… sans taper dans le glauque de la prostitution forcée moderne. Ou dans mes délires pseudo-freudiens ;-) .
“Par contre tu pourrais m’en dire plus sur la rose poignardé de Freud ?
J’ai fais quelques recherches j’ai rien trouver.”
Oups, heu, normal, c’est une interprétation très perso…
Ben comme on dit souvent que la manie d’avoir un “gros” couteau c’est une manière de représenter le phallus… (comme le braquemart, originellement épée courte au moyen age…), et puis de l’autre coté la fleur (déflorer?), je me suis dis qu’un couteau qui défonce une fleur, bref… -sorry-“Par contre quand tu parle de Fleur de lys c’est style fleur de lys royale ou bien fleur de lys plus photo réaliste?
Car je trouve ça étrange de marquer les femmes de petites vertus du symbole de la royauté.”
Je n’ai pas d’infos précises sous la main, je vais répondre avec mes connaissances. Donc pas garanti…A priori il s’agit de la fleur de lys royale (image wikipédia):
De nos jours ça risque plus d’être perçu comme l’appartenance à un courant royaliste… mais évidemment dans la région du sexe…ça donne un autre sens.
“Car je trouve ça étrange de marquer les femmes de petite vertu du symbole de la royauté.”
Oui et non.
Il s’agit de voir l’apposition de la fleur de lys comme l’usage d’un sceau. Je pense qu’un équivalent moderne serait un coup de tampon aux armes de la république française. Manière de dire: “c’est le roi qui en a jugé ainsi”.
Par exemple serait indiqué sur la carte d’identité la mention “prostituée” avec un coup de tampon aux armes de la république française.
A l’époque, je suppose qu’on marque sur la peau (de manière définitive), sur une partie visible du corps, parce que personne n’a de papiers d’identité et qu’il faut que tout un chacun puisse identifier la “flétrissure” de la personne, sans qu’elle puisse mentir sur sa condition.
+1 Je trouve ça très glauque ces rats empaillés.
Vu le look des rats, ça a l’air d’être du rat d’élevage type rat de labo. Donc produit pour être tué pour faire de l'”art” :scratch: -vomit –
Je suis pas végan ni végétarien mais j’évite de consommer des animaux tués si c’est pas un minimum utile. Et pour moi les “oeuvres d’arts” à base de rats tués, y a pas plus futile… ou stupide ou idiot.“Ma femme aimerais ce fait tatouer près du sexe.
Elle avait comme idée un motif/symbole
Qui pourrait représenter la luxure voir la prostitution.”
Ah, on a pas lu les trois mousquetaire, ici?
Dans l’ancien régime, les “femmes de mauvaise vie” étaient marquées d’une fleur de lys au fer rouge (ouille)!
(Les marques “d’infamies” sont en général fait à des endroits visibles (ce qui ne vous conviendrait pas…). Ca se retrouve aussi dans les tatouages forcés chez les “voleurs dans la loi” de l’union soviétique )
Il y a aussi le laurier, utilisé pour indiquer les bordels (“nous n’irons plus au bois, les lauriers sont coupés…”).
On va éviter les tatouages forcés des maquereaux sur les prostituées destinés à indiquer une “propriété”…La rose semble avoir une symbolique assez associé avec le sexe (surtout une rose rouge)…
Pourquoi pas une rose percée d’un couteau? (cf Freud! :D ):DSinon dans les symboles du sexe féminin il y a pas mal de choses, la figue, la moule, etc.
Bon courage…
Bonjour Bibi,
Il y a un membre du forum, Grand Coquin, qui s’y connaît pas mal en BDSM.
Je t’invite à lire cette discussion qu’il avait lancé, très instructive:
dominant-en-sado-masochismeQuant à moi je connais surtout des conseils de sécurité. Mon obsession d’éviter de mourir comme un c0n.
De mon point de vue, coté dominant, pour éviter les ennuis, il faut savoir parfaitement maîtriser le safeword et établir un “contrat”. Ca peut manquer de glamour mais le BDSM n’est pas du sexe ordinaire et ça évite des ennuis voir des accidents.
Autre intérêt, dans le cadre de vos premières rencontres ça évite de tomber par accident dans l’agression sexuelle…Le safeword est un mot qui signifie “on arrête tout”. Et on arrête tout c’est pas on arrête juste pour une pause, c’est on arrête, tout de suite, on défait les bandages, les liens, et on analyse ce qui a posé problème. Au passage, le dominant peut aussi utiliser le safeword si il trouve que le soumis ne se contrôle plus ou met sa vie, sa santé en danger. La personne qui souhaite arrêter n’a pas à se justifier et il ne faut pas la forcer à faire ce qui ne lui plairait pas.
Il faut trouver à un safeword explicite et facilement prononçable. Il faut penser aussi à une manière de communiquer le safeword si le soumis est dans l’incapacité de parler ou de bouger. Dans ce dernier cas vérifier que c’est faisable en situation.
Pour les premières rencontres, une alternative peut être le “feu rouge”. Au fur et à mesure qu’on monte dans l’action, le dominant demande au soumis (ou le soumis lui dit directement) : “couleur?”. “Vert: tout va bien”. “Orange: ça va mais on approche de mes limites, attention”. “Rouge: on arrête!”.
Dernier point auquel je pense coté dominant. Le soumis va s’abandonner au dominant donc ça veut dire que le dominant doit s’occuper de vérifier la santé du soumis. Est-ce que ta partenaire est toujours consciente, par exemple.Le contrat:
C’est définir au préalable ce qu’on aime faire sans inconvénient, ce qu’on veut bien essayer et ce qu’on ne veut pas du tout faire. Sachant que chacun est susceptible de revenir sur ses options, en plus ou en moins. Ca permet d’éviter de partir sur de mauvaises bases et parfois ça permet de découvrir de nouvelles choses.
Par exemple moi je ne supporte pas la scatophilie mais je pense que l’ondinisme non dirigé vers le visage ne me gênerait pas trop. Et par exemple il y a certaines zones de mon corps que je refuse qu’on touche.Je te conseille aussi d’éviter les trucs “à risque” tel que les strangulations, du moins tant que tu ne connais pas parfaitement ta partenaire… et que tu ne sais pas faire le massage cardiaque+ bouche à bouche!
Il y a aussi des trucs moins évident. Par exemple dans le cadre d’un bondage mal fait un lien trop serré peut avoir un effet garrot. La personne ne s’en rendra pas nécessairement compte parce que le membre s’insensibilise. Sauf qu’au bout d’un certain temps (1h? moins? Ca dépend de la partie affectée) la partie en aval du garrot va mourir pour cause de privation de sang.Bref, dans le bdsm la notion de safesex va au dela du préservatif ;-)
Ceci pris en considération, amusez vous bien :-) :good: .
Tiens, ça manque de réponses…
Faute de mieux, je vais balancer la mienne.
Je n’y connais rien en pratique des godes et autres, c’est pas trop le truc de ma copine.Pour la taille, ben y a de tout. Je cite wikipédia français:
“La longueur moyenne est de 13,12 centimètres, avec une variabilité importante, allant de 4 à 26 centimètres”. On parle de micropénis en dessous de 5cm. 95% de la population se situe entre 9,5cm et 17cm. Donc tu as un pénis dans la moyenne… Vers le bord inférieur, mais loin d’être un micropénis.
En pratique ça varie les facteurs génétiques, l’alimentation (uniquement en cas de carences ou d’excès). Et une fois la croissance terminée, ça ne change plus, sauf maladie. Bref, comme la taille du reste du corps.
Au passage, la perception de la taille du pénis a pas mal changé. Chez les Romains, avoir une grosse bite était un signe de dépravation, de dégénérescence. Idem chez les Grecs. (Suivant le principe: un type qui avait une grosse bite passait plus son temps à baiser qu’à combattre ou à améliorer la vie de Rome). D’où la taille des bites sur les statues…“4- Des conseils pour une femme qui aime tout spécialement les engins…gros et longs, elles aiment les ” grosses bites ” quoi tout simplement.. ?!”
Ah, pas de bol.
Parce que paradoxe qui m’a choqué(-ah, jeunesse ignorante-) quand des femmes m’en ont parlé, un gros pénis ça fait des fois peur à certaines. Et pour d’autres, je cite, ça rend la relation “chiante au possible”. Dans ce dernier cas, la pénétration n’était possible qu’après de très longs préliminaires comprenant de nombreux exercices de, heu, étirement du vagin, et surtout une lubrification abondante. Au final le couple qui tenait surtout grâce au sexe s’est séparé…
D’un autre coté, il y a le coté être “remplie” qui plaît à d’autres, donc… Comme disait le KamaSutra, il y a de tout…
Avec le temps j’ai aussi appris qu’un pénis ce n’est pas tout, on a aussi des doigts, voir une main, voir un poing si on va par là. :eggplant:
Il y a aussi la manière de se servir de son outil et là aussi j’ai pas mal appris. Grâce à elles. Grâce au dialogue. Le sexe se fait à deux. ;-)En attendant des réponses plus pertinentes:
Pour le port de harnais, voici les tests qui répondent au mot clé “harnais”:
“https://www.objetsdeplaisir.fr/?s=harnais”
Pas de harnais testé par des hommes dans le lot, donc à voir… Ben oui, contrairement aux femmes on a un truc qui dépasse beaucoup en bas ce serait très… désagréable que la base du harnais l’écrase (ouille!).Pour le port d’une gaine, le test est là:
Note que, je cite: “Ce n’est pas un modèle aux dimensions intérieures modeste”. Mais d’un autre coté: “la plupart des gaines ont l’air d’être conçues pour compenser une teub de petite dimension”. Donc je suppose que l’un dans l’autre il doit y avoir de quoi “trouver chaussure à ton pied” ;-)Tiens, en suivant le lien vers le site de lovehoney, je suis tombé sur ça:
https://www.lovehoney.fr/sex-toys/developpeurs-prolongateurs-de-penis/
Donc apparemment, oui, ça existe des gaines péniennes d’autre taille et des harnais “creux” (donc pour êtres dotés d’un pénis).
Je pense que si aucun n’a été testé ici c’est parce que les participants… n’ont pas encore été concernés par le problème. Ca viendra peut-être.Au passage, je mets en garde contre les “pompes à pénis” vendues sur ce site. Même si à mon avis 90% des gens peuvent l’utiliser sans danger, le pénis étant un genre de “ballon remplis de sang”, il y a un risque pour que la dépression soit trop forte et que le ballon pète… Dit autrement, que ça bousille les corps caverneux. Et là c’est les urgences, et probablement une réduction de taille à la clé suite aux cicatrices… Et définitive, la réduction de taille… Sans parler des cas d’amputation pour cause de nécrose.
Idem pour les anneaux péniens: ça fonctionne en bloquant le retour de sang. Une bonne idée en apparence en cas de dysfonctionnement érectile, le risque est que le sang stagne, donc ne se renouvelle plus en oxygène. Même principe qu’une escarre. Résultat, les tissus meurent. Donc avis aux utilisateurs: garder à portée de main de quoi couper l’anneau pénien au cas où. Pour l’acier, il faut un coupe-boulon. Ou une scie à métaux. Ne pas faire comme ce couple qui est parti en camping avec un anneau pénien en titane. Le titane étant un métal très résistant… les pompiers n’avaient pas de quoi le découper. Et le temps de transférer monsieur à l’hôpital, son pénis était nécrosé. Il a du être amputé.Merci Mélusine, je comprends mieux.
Je ferais plus attention à l’avenir.
Je suis moi même assez blindé contre les violences et autres, en ayant reçu ma part sur le net et ailleurs, donc parfois il peut m’arriver d’oublier d’être humain.
Donc je ferais gaffe, en particulier ici.
Melusine, je te remercie de ta réponse. Ca me peinait d’avoir fait du mal. :cry:
mais tous les lieux ne sont pas safe, et je t’avoue que je serai plutôt contente si ce lieu le restait.
Je ne suis pas sûr de comprendre ce que tu veux dire exactement par “safe” (je suppose: “un lieu où on ne se fait pas insulter”) mais je vais essayer d’être plus respectueux à l’avenir et surtout plus prudent avec certaines boissons. Et s’il y a du troll qui s’invite ici, je riposterai. De même que j’espère que d’autre me remettrons dans le droit chemin (comme tu l’as fait) si je déconne.
Pour ce qui est de l’orientation sexuelle d’autrui, mon principe est que tant que les gens sont majeurs et consentants, je n’ai rien à redire. Et que si ma voisine préfère la glace chocolat-cerise alors que je ne jure que par vanille framboise, chacun ses goûts et tant mieux pour elle, ce ne sont pas mes oignons.
Mélusine,
Je tiens à m’excuser sincèrement pour ces propos dont j’avais oublié l’existence et que j’ai du tenir dans un état… néfaste et imbibé :wacko: . Ils sont très loin de ce que je pense à l’état sobre.
Quand à la phrase “ce n’est pas tellement le pénis qui nous dérange, c’est ce (le mâle/l’homme) qui y est attaché”, elle vient d’un documentaire sur le lesbianisme(? – connaît pas le bon mot- ?) et avait été prononcée par une lesbienne. Mais je l’ai transcrite d’une si mauvaise manière que d’amusante et pertinente elle devient offensive et machiste.
Je te prie de bien vouloir accepter mes plus sincères excuses; cela vaut aussi pour tous ceux que j’ai pu offenser par de telles absurdités. :cry: :-(
