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Hum…
A ma connaissance, il n’y a pas mal de hentai sur le thème SM. Mais c’est rarement réaliste. Tu trouveras ce qu’il faut avec les mots clés ad hoc. Au besoin je t’indiquerais. ;).
Cherche les hentai dit “humoristiques”. En général, ils sont -paradoxalement- un peu plus sérieux.
“Ah ah, mais je m’interroge, pourquoi penses tu cela? Je ne lis pas que des trucs sexuels hein, loin de là même! :p”
Ben c’est un peu en décalage au final avec le contenu de ce forum. ;-). Donc je préfère un peu prévenir. Enfin, je sais pas moi :unsure:
D’ailleurs je pense que cette BD n’est pas excessivement manga. La présence répétée du monde réel et de ses difficultés l’éloigne de mangas traditionnelles où justement la banalité du réel est occultée.
“entre le beau jeune homme dans le monde virtuel, et le gros moche dans la vrai vie, et j’avoue que le sujet m’intéresse bien (heu, dit comme ça on dirait que je suis une grosse moche, ah ah!)”
Lol! Je comprends :D. L’auteur a caricaturé le “héro” en gros moche dégueulasse, mais je pense que l’identification se fait assez bien pour cela. En effet, dans la vie, contrairement à la réalité virtuelle, nous avons tous nos petits défauts qui nous font sentir un peu moche, un peu trop gros, etc. Si l’auteur avait mis un beau jeune homme (ou une belle jeune femme) à la place, l’identification aurait été plus difficile.
D’ailleurs, je crois que dans la BD, aucun être mâle du monde réel n’est vraiment beau. Entre les deux extrêmes du gros moche et de son pote la crevette, tous sont loin des canons de la beauté masculine. Mêmes leurs idées sont “moches” et éloignées d’un idéal romantique: lorsque le gros moche se retrouve sur son île virtuelle, il doit en permanence faire attention à ce que ses émotions ne se reflètent pas sur son visage virtuel. Car avec son visage d’ado, ses émotions d’adultes donnent un plus violent décalage.
Pas faux, je viens de le relire, et en effet, les scènes de sexe sont plutôt rares. J’édite les tags. :-)
Je sais pas si il te plairai d’ailleurs.
Il y a un peu un aspect romantique sensible qui peut déplaire à certains. Par contre, ce qui est bien c’est pas mal de petites choses. Par exemple l’alternance des scènes montrant la vision du protagoniste et de ses amis dans leur monde virtuel (Deux beaux hommes chevauchant un cheval) et la réalité (un gros homme et un gringalet chevauchant un canapé!). En fait, il y a une assez bonne analyse de ce monde virtuel, des conséquences sur la vie réelle. Faute de balise spoiler, je n’en dirais pas plus, mais on est surpris de découvrir qui sont certains protagonistes dans le monde réel. Il y a peut-être aussi une analyse et des métaphores sur la différence entre l’idéalisation de la sexualité que l’on peut avoir à l’adolescence et la confrontation de ces rêves à la réalité de l’âge adulte. Et puis j’adore la phrase qui conclue l’album: “thank you for being born”. :)
Quand j’ai essayé l’orgasme anal j’ai eu les mêmes genre de problèmes. En solo, ça nécessite une logistique bien complexe pour pas grand chose en plus. Bref, j’ai laissé tomber. Par contre je ne serai pas contre découvrir le pegging, mais pour l’instant je ne suis pas deux ;-)
Fantasme et réalité peuvent s’interpénétrer (sans jeu de mots! ;-) )
D’un autre coté, il y a certains fantasmes difficiles à mettre en œuvre. Il peut m’arriver de fantasmer sur une scène de sexe dans un harem. En pratique, outre que ça a peu de chance de m’arriver, j’imagine la quantité de viagra qu’il faudrait que j’ingurgite pour satisfaire ces dames! Je crois que même le kama-sutra parle de la problématique de la satisfaction des harems. Bref, ça reste un fantasme :D.
Un jour, j’ai découvert Sade. Par principe j’ai lu, parfois avec difficulté, tout ce qu’il avait écrit.
(Au passage, je précise que si Sade est du sadisme pur, il n’a rien à voir à mes yeux avec du BDSM: dans le BDSM, le soumis contrôle. Sade, ça tient parfois plutôt des délires d’un psychopathe.)
Depuis Sade, je doute qu’on puisse écrire quoi que ce soit de plus fort. De ce que j’ai entendu dire de 50nuances, c’est du “mum porn”. C’est au BDSM ce que “Plus Belle la Vie” est à la vie réelle… ;-)
Je sais que chez les hoplites grecs, le casque avait deux fonctions: une fonction de protection du crâne et le fait d’augmenter la taille du soldat, donc de le rendre plus impressionnant.
Pour l’impact du képi, je pense qu’il y a aussi un effet culturel.
Qui dit képi dit autorité. Lorsque nous voyons un policier en uniforme, un militaire, etc. nous savons instinctivement que c’est un représentant de la loi, quelqu’un d’armé et en position d’autorité, donc instinctivement nous nous préparons à obéir à ses ordres, nous nous sentons en position d’infériorité. Une forme de conditionnement de base: nous n’avons pas besoin de voir l’arme pour savoir que cet personne est dangereuse parce que nous avons associé (au sens psychologique du terme) le vêtement au port d’arme.
Et pour le cas du képi, le képi est un symbole d’autorité au sein de l’armée, donc un porteur de képi est un supérieur au sein d’une organisation d’individus déjà supérieurs (càd: plus dangereux que le citoyen de base).
Je pense que si un policier portait un chapeau de clown, l’effet serait bien moindre ;-) . Si au lieu de ta tenu “cuir” tu faisais tes séances en costume de clown ou d’ours en peluche, l’effet serait… déconcertant! :D
Par contre, si tu faisais tes séances en costume d’Alex et de ses droogs dans Orange Mécanique… (A moins évidemment que les gens n’aient pas vu le film(?)) Ou en tenu de skinhead, même sans képi, ça aurait son effet… Peut-être un effet différent: le militaire/ le gendarme symbolisent une violence contrôlée (l’autorité) alors que le skinhead symbolise une violence incontrôlable.
Je viens coller un touche médicale ;), quitte à faire des redites.
Le principe de base, c’est si ça fait mal, on arrête. Un des risques est de forcer les muscles du sphincter de l’anus et de risquer une déchirure. Un peu comme un sportif qui tenterait le grand écart sans avoir pratiqué d’étirements progressif ;-). Et puis se souvenir que même avec de l’entraînement, ce n’est pas extensible à l’infini, même si à mon avis la limite est assez lointaine…
Pour te rassurer et te donner une idée de la souplesse et des capacités de dilatation du sphincter, cette anecdote. En cas d’objets insérés dans le rectum et qui ne peuvent ressortir naturellement, la procédure médicale consiste à injecter un produit qui détend les muscles du sphincter. Puis le praticien insère la main dans le rectum et va chercher l’objet. En bref, le fist-fucking n’est pas qu’un mythe :D.
Je crois que les vrais risques sont plutôt de type déchirure du rectum, lors de l’insertion d’objets “pas fait pour”, trop rigides et qui risquent de perforer la paroi du rectum. Là, c’est une urgence médicale.
Et évidemment si on force, mais j’en ai déjà parlé au dessus.
A propos de lubrifiant, je me demande justement ce que donnent les lubrifiants médicaux? Le genre fait pour gynécologie ou proctologie. D’autant qu’en général ils sont disponibles en gros conditionnement et niveau sécurité ils doivent être ultrasafe…
Et dans le registre “homemade”, je me demande ce que donnerait un gel fait maison à base d’agar-agar …?
Autre idée, si le sextoy “bois” beaucoup, pourquoi ne pas mettre un préservatif dessus?
Vient de passer dans le Petit Journal de ce soir (30/01/2015)…
Toute la collection était du même aca…bit.
Bravo Tinu! :D. T’es en avance! : D.
Mon vibro préféré? Ma main! Ecologique, fiable, etc.
Bon, manque parfois un peu de puissance, mais je m’entraîne, je ne fais que ça! :D
-“Mon chéri, tu te masturbes! En mon absence!”
-“Non mon amour, je préviens mon cancer de la prostate”.
Je ne m’y connais pas trop en plug avec base ventouse mais je sais que dans le commerce il existe beaucoup d’accessoire genre porte serviette “sans vis” mais avec ventouse. En général, ça tient mal. Quand je n’ai pas le choix, je résous le problème en collant à la ventouse une vis. Reste plus qu’à percer un trou et à y mettre un tube fileté (magasin bricolage, rayon des raccords de tiges filetées).
D’un autre coté, le dispositif ci-dessus est prévu pour “ne pas bouger”. Donc faut bien choisir l’emplacement de la base du gode: c’est définitif. Et poser un cache par dessus entre deux usages…
Excellent celle du sale gosse au supermarché.
A propos, une blague pour illustrer les quasi mésaventures de GC:
Un gosse surprend ses parents au lit en position du missionnaire. Comme monsieur est sur madame, il claque la porte en hurlant: “J’veux pas de p’tit-frêre!”
Quelque temps plus tard, rebelotte avec la position d’Andromaque (madame au dessus): “J’veux pas de p’tite soeur!”
Et une troisième fois (savent pas installer une serrure ces parents?): “Et j’veux pas d’chien non plus!!!”
– aparté: je ne sais pas ce que ça aurait donné avec un 69…-
