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  • en réponse à : récits #36821
    GC
    Participant

    L’habit fait le moine, aussi en sado-maso…

    Lors de mes séances trimestrielles “initiation au sm”, je constate que le comportement des apprenti(e)s est différent s’ils sont en jeans et polo plutôt qu’en tenue de Dominateur. Dans ce dernier cas, leurs performances sont bien meilleures.

    Dorénavant donc, avant leur cours, je leur impose de déterminer leur tenue et de s’y tenir.

    Par ce fait ils (elles) se stimulent les un(e)s les autres, et apprennent à “faire corps” avec leur nouvelle tenue de Dominateur en sm.

    J’ai d’ailleurs, à présent, des prix pour les pantalons, les chemises, les mitaines et les bottes en cuir noir.

    Ces dernières, quand elles sont neuves, sont assez rigides aux chevilles ; donc le travail en séances d’apprentissage, permet aux apprenti(e)s Dom’ de s’y habituer et d’en assouplir aussi le cuir. Comme les miennes d’ailleurs.

    Enfin, j’impose parfois, lors de petites poses de l’un(e) ou de l’autre apprenti(e), pendant que d’autres continuent de s’entrainer sur les slaves attaché(e)s, que des apprenti(e)s s’entraînent aux rôles Dom’- soum’.

    Au cours de ces jeux de rôles, des Dom’s acceptent

    – de lécher les bottes d’autres Dom’s (pour voir aussi ce que cela fait),

    – de se faire un peu serrer la nuque, à 4 pattes, entre les bottes d’un autre Dom’,

    – de se faire un peu pousser le dos, couché, par un Dom botté,

    – etc….

    Bref, tout un tas d’amusements et de scénari afin de se familiariser avec les tenues et les fonctions de Dominateur en sm.

    J’ai d’ailleurs entendu, récemment,  une apprentie (en tenue de Dominatrice, bien sûr) dire à un autre Dominateur apprenti (en tenue cuir lui aussi)  : “dis tu sais que je me laisserais bien sadiser par toi, dans ta tenue, tout à l’heure… Tu veux bien ?”

    Et j’ai pensé “fun comme il est, je la comprends”

    Je vous le dis : l’habit fait le moine

    GC

    en réponse à : récits #36820
    GC
    Participant

    Atelier sm !

    Chaque année je vais seul au Folsom Berlin : « festival gay fétish BDSM » – mais tout le monde y va tant l’ambiance est à la tolérance, la convivialité, la cordialité, la créativité.

    Cette année, pour la première fois j’ai été avec un membre (de mon club d’équitation) qui était curieux de voir tout ça. De plus il était un peu fasciné par les côtés Dom’ mais aussi soum’ et il voulait tester les 2 aspects. Je vous raconterai plus en détails tout cela.

    Le samedi soir, j’ai été m’inspirer des nouveautés dans un atelier sm. Ici il s’agissait d’ »électro sexe-anus », ce qui présente l’avantage d’être en ligne directe, sans passer par le coeur ni le système neuro-végétatif.

    Donc le soumis est debout, dans les bras de quelqu’un (il peut s’appuyer contre un mur aussi) et on lui place dans l’anus une électrode (en métal bien sûr). Il faut bien lui enfoncer cette électrode dans l’anus car après il va devoir se coucher sur le dos pour être attaché par les poignets et chevilles.

    L’autre électrode est un fil qui entoure le pénis, passe sur le gland et redescend de l’autre côté du sexe. Le tout est recouvert d’un « gant » de métal qu’on ouvre pour le placer au-dessus du sexe et qu’on referme au-dessus de tout.

    Donc le sexe est entouré de quelques fils, le tout resseré par une pièce de métal articulée qui se clipe par dessus tout le sexe, avec une petite charnière et un clip de fermeture.

    Je n’ai pas vu de boucle pour un cadenas.

    On peut ensuite lancer le courant.

    On joue sur la fréquence des pulses et le wattage

    Doucement en pulse et faible wattage : érection
    plus fort : soubresauts du corps
    encore plus : le corps s’arque
    à fond : le corps s’arque et le corps tout entier ondule et le type hurle à chaque pulse.

    Il faut bien attacher jambes et poignets car le type tire de partout. Menottes de métal interdites (cisaillement de la peau)

    Le sexe reste tout le temps en érection.

    Voilà : excitant de voir l’érection, puis les tensions, puis les soubressauts, enfin les hurlements. On a laissé les hurlements environ une bonne minute. Hyper fun.

    On peut reprendre la séance tant qu’on veut (et que le soum’ veut bien, évidemment) dès que la gars a un peu récupéré.

    Précautions médicales indispensables comme d’habitude (cardiaques, épileptiques, dépressifs, … interdits)

    GC

     

    en réponse à : crochet anal #36763
    GC
    Participant

    Efficacité du crochet anal : je l’ai fait porter pour la première fois de ma vie à quelqu’un, au Folsom à la mi-septembre.

    C’est le modèle avec petite boule de 2,5 cms. Je l’ai mis, une semaine avant de partir, au gars qui allait le porter au Folsom.

    C’était rigolo de voir le garçon le buste allongé sur une table et me présentant son postérieur. J’ai mis un peu d’huile sur la boule et sur son anus, et puis je lui ai demandé de “pousser” un peu pour la lui enfoncer plus facilement.

    C’était insolite mais assez facile finalement. Il a dit “hou” et c’était mis.

    Ensuite j’ai mis une chaînette avec un mousqueton à l’anneau du crochet et j’ai relié le tout à la boucle arrière du collier (avec un autre mousqueton).

    Au début il a marché un peu les jambes ouvertes (il fait du cheval donc il a eu facile – Happy )mais pas longtemps.

    Comme on allait au Folsom le WE d’après, le samedi il était prévu qu’on teste son côté soumis. Donc, lors de l’essai, j’ai testé l’efficacité et j’ai tiré la chaînette à droite, à gauche. Il suivait bien les instructions du crochet… et prenait la bonne direction en marchant. J’ai un aussi tiré la chaine vers le haut et il s’est vite mis sur la pointe des pieds.

    Magique.

    Au Folsom, juste avant de sortir, le samedi matin, je le lui ai remis. Et puis je lui ai chaussé la cagoule pour qu”on ne le reconnaisse pas.

    Durant le festival, des Dom’ pouvaient jouer avec son sexe et ses testicules (avec notre accord, bien sûr) et quand il bougeait trop, hop, je tirais le crochet vers le haut et il se laissait faire.

    Pareil durant les séances de fouet public : je lui avais tiré le crochet plus haut pour qu’il ne bouge plus, en plus du crochet avant du collier (et des bracelets de poignets) fixé à la poutre devant lui.

    Très efficace et très fun.

    GC

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    en réponse à : récits #36762
    GC
    Participant

    Hier soir, un rendez-vous “en urgence” : le couple de garçons arrive ensemble. Je pensais qu’ils se connaissaient depuis longtemps, mais apparemment c’était seulement depuis quelques jours.

    Un dominant et l’autre plutôt soumis.

    Le soumis accepte d’avoir les yeux bandés et n’est pas bâillonné. Le dominant demande à son nouveau copain de lui lécher ses chaussures. Le soumis accepte.

    Ensuite, comme prévu par téléphone, on attache le soumis au trapèze (toujours yeux bandés et bouche libre) – bras fléchis en hauteur – torse nu.

    Le dominant veut s’en amuser avec mon fouet. Le soumis accepte – je refuse. J’autorise le martinet sur le dos, et avec modération.

    10 minutes et calmement plus tard, le dominant (bien excité par la possession) veut faire un fellation au soumis, toujours attaché. Ce dernier accepte. Dont acte. Moi, je reste prêt à intervenir en cas de dérapage.

    Enfin, comme logique, le dominant veut sodomiser le soumis (debout et attaché), qui accepte.

    J”ai le lubrifiant et des préservatifs pour gay en cas d’urgence.

    Tout s’est bien passé et on a détaché le slave ; le dom’ a refusé d’être attaché.

    Insolite mais bien réel.

    GC

     

     

     

    en réponse à : Dominant en sado-masochisme #36718
    GC
    Participant

    Curieux “L’essentiel d’une tenue n’est-elle pas d’exprimer la menace et la domination?”

    Avant tout, je pense que la tenue est le reflet du dom’. De cette tenue (et donc de la personnalité du dom’) vous sélectionnerez une série de partenaires et pas d’autres.

    Il est important de se sentir “en phase” avec sa tenue.

    voilà

    A bientôt sans doute

    GC

    en réponse à : Dominant en sado-masochisme #36685
    GC
    Participant

    Curieux,

    les proportions sont environ de

    50 % de dames

    25% d’hommes

    25 % de couples/groupes/amis/

    Il y a des slaves qui veulent toujours plus d’endorphines et donc plus de douleur. Effectivement, c’est à moi d’arrêter car on dépasse la limite correcte. Mais cela arrive surtout quand on fouette sur le peau, ce que je ne fais pas.

    Oui, la sécurité est primordiale, c’est vrai. Pour moi aussi

    La tenue ? elle dépend de la personnalité du maître et du type de partenaires que l’on veut, c’est vrai.

     

    Tout cela est très sensé – merci beaucoup pour ces remarques.

    GC

     

    en réponse à : récits #36660
    GC
    Participant

    La semaine dernière, je reçois un appel téléphonique provenant de France.
    Lui : « Bonjour, je vous téléphone de la part de Untel. Vous êtes bien Olivier ? »
    Moi : « Oui, en effet, c’est bien moi. Que puis-je faire pour vous aider ? »
    Lui : « Je cherche un jeune-femme qui est Dominatrice en sado-maso, et qui pratique en France. Il paraît que vous donnez des cours de pratique sm et que les jeunes-femmes qui réussissent votre formation sont expertes et fiables. Ce serait pour une séance SM sur quelques personnes en France. Vous avez des coordonnées d’une Dominatrice SM à me donner svp ? ».

    Euh, il faudra que je songe à entrer en bourse, moi. Ma réputation grimpe…

    lol

    GC

    en réponse à : récits #36555
    GC
    Participant

    Au cours de la dernière séance de groupe “initiation au sm”, deux apprenti(e)s testent les effets de la cravache sur les ondulations du slave (gauche-droite  –  avant-arrière).

    Le gars qui ondule suit les frappes et bouge comme le demandent les deux cravaches.

    Il crie bien sur les côtés du gag ball.

    L’apprentie (souvent les dames sont plus redoutables quand elle frappe un homme que l’inverse) me demande s’il n’y a pas moyen de “remonter un peu le trapèze pour l’étirer davantage vers le haut afin qu’il bouge moins”.

    Moi “dites on est ici pour apprendre à sadiser et faire bouger, bien d’accord, mais pas pour lacérer un mannequin”.

    :unsure:

    Elle a été s’entraîner sur la slave féminine….

    GC

     

    en réponse à : No sex but… so Fun :-) #36494
    GC
    Participant

    Oui, je suis d’accord. Personnellement, je rééduque aussi les chevaux blessés ou opérés et je suis très attentif aux boitements du cheval, par exemple. Je suis aussi défenseur des droits des animaux.

     

    gC

    en réponse à : No sex but… so Fun :-) #36488
    GC
    Participant

    Il y a aussi “oh regarde la jolie bichette attachée et que je vais délivrer bientôt…”

    Attachments:
    en réponse à : récits #36457
    GC
    Participant

    Exact, Curieux. Et c’est ce qui arrive souvent dans le milieu SM, en cours de séance. Des soumis(e)s n’osent pas demander l’arrêt par peur de déplaire ou de fâcher le Dominant.

    C’est pourquoi je trouve les deux safeword “orange” (pour ralentir) et “rouge” (arrêt immédiat – qui ne veut pas dire “sans reprise” d’ailleurs).

    Le “orange” évite les ennuis du “rouge”.

    Je le savais que vous étiez un Dom’ potentiel.

    En ce qui concerne ma compagne, elle connaît le “orange” et ne l’a pas activé. Mais je la connais et je sais quand on approche de son “orange”, effectivement.

    Bravo et merci pour votre perspicacité.

    Gc

     

    en réponse à : récits #36450
    GC
    Participant

    Il me revient une anecdote banale : je terminais de mettre les attaches de poignets à une jeune-femme et je vérifiais s’ils étaient suffisamment ajustés (il ne faut pas que les mouvements et tractions permettent aux poignets de se dégager de leur bracelet, mais il ne faut pas non plus bloquer la circulation du sang, bien sûr).

    En cours de vérification, je pensais qu’on frappait à la porte de ma salle. J’attache vite la jeune-femme (qui avait les yeux bandés) par le collier à la chaîne du plafond, lui boucle les mains dans le dos, et je vais vérifier par l’oeilleton dans la porte qui frappait. Stress. Personne ! Ouf.

    Je reviens donc à mon contrôle des bracelets et, par erreur, je vérifie le même bracelet et pas l’autre. Pas malin de ma part.

    J’attache les bracelets aux deux extrémités du trapèze et je le lève. Je prends du recul pour m’apprêter à la première frappe à la cravache longue et la jeune-femme me dit “il y a une différence de serrage : le bracelet gauche n’est pas bien serré”. :unsure:

    Euh, moi : “ah oui mais je ne voulais pas que ce soit trop serré, voyez-vous”. La honte ! J’ai resserré d’un cran car elle aurait pu se détacher assez vite, effectivement.

    On ne le dit jamais assez : il faut toujours revérifier, surtout s’il y a sollicitation du matériel…

    La séance s’est bien passée et j’ai dû la bâillonner assez vite pour qu’on ne vienne – vraiment – pas frapper à la porte. :wacko:

    GC

     

    Attachments:
    en réponse à : récits #36443
    GC
    Participant

    Lot of laugh :heart:

    en réponse à : récits #36419
    GC
    Participant

    Alors vous pouvez l’effacer, Elle ! Comme vous voulez !

     

    GC

    en réponse à : récits #36417
    GC
    Participant

    Ah, si c’est une répétition, il faut l’effacer alors

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