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15 sujets de 91 à 105 (sur un total de 207)
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  • en réponse à : récits #36414
    GC
    Participant

    Je me suis rappelé un anniversaire que ma compagne m’avait offert : je ne suis pas un collectionneur d’objets (et donc de cadeaux – objets) mais j’apprécie les évènements.

    Elle sait que je suis amoureux d’elle est que j’aime le sado-maso (NDLR : elle m’a d’ailleurs aidé à aménager ma salle et elle m’assistait de temps en temps lors de séances SM sur des tiers, mais elle ne veut plus de mon niveau de hard. Nous nous limitons donc au sm hyper soft entre nous).

    Donc elle me demanda des semaines à l’avance si un cadeau pouvait me faire plaisir.

    Bien sûr je lui ai demandé une soirée avec elle et deux couples d’amis, mais aussi une séance SM comme je les aime, avec elle comme soumise. Elle dit craindre la dite soirée mais accepta : quand c’est loin dans le futur, les gens acceptent plus facilement.

    Ce soir-là arrivé elle s’habille donc sexy (pantalon stretch et cuissardes) pour partir au resto rejoindre les 4 autres personnes. Quelques minutes avant le départ je revendique une “avance sur séance”. Négociations. Elle accepte mais demande de pouvoir encore s’asseoir ensuite.

    Je lui place le bandeau sur les yeux, lui ajuste les deux bracelets en cuir aux poignets (j’ai suffisamment de bracelets et je sais comment les serrer vite et bien), l’emmène vers la cage d’escalier, et lui lève les deux bras de part et d’autre d’un barreau. Je clippe deux mousquetons pour réunir les deux poignets au-delà du barreau.

    J’avais choisi un barreau suffisamment haut car, il y a quelques années, alors que je lui cravachais les fesses, elle s’était laissée glisser vers le bas, jusqu’à avoir les fesses au sol, interrompant ainsi la séance.

    La voilà donc, me tournant le dos, debout, face aux escaliers, les poignets réunis au-delà d’un barreau, me présentant ses jolies fesses et ses belles jambes cuissardées.

    Comme le rendez-vous avec les deux autres couples était assez proche et que je n’avais pas beaucoup de temps pour la cravacher, je l’ai tout de suite frappée suffisamment pour l’entendre crier et la voir onduler. Dix minutes ont suffit et je l’ai délivrée. C’était fun, trop court mais fun.

    Je lui ai confirmé que ce n’était qu’une avance et que la vraie séance aurait lieu au retour, ce qui ne l’a pas réellement séduite.

    La soirée était sympathique et nous n’avons pas parlé BDSM du tout avec les deux autres couples (qui ne sont pas connectés BDSM). Curieusement ma compagne prenait tout son temps et ne semblait pas pressée du tout de rentrer. Elle a même revendiqué une petite balade dans le Centre de Bruxelles. Etonnant.

    Tout a une fin et moi j’étais impatient de profiter de la dernière partie de mon cadeau.

    Nous sommes donc repassé par ma salle SM (bien équipée et insonorisée – si vous voulez la description complète, demandez-la moi : je l’ai aménagée moi-même) située à Bruxelles aussi.

    Je lui ai bouclé les bracelets de poignets et de chevilles, attachée au trapèze, l’ai remerciée pour la suite imminente dont j’ai pleinement profité. Comme il était tard, le bâillon m’a rendu service. Ma cravache et moi nous en avons profité. Je l’ai faite élégamment danser, suffisamment pour avoir envie d’elle en tout cas.

    Quand je l’ai délivrée et qu’elle a repris ses esprits et son souffle, elle m’a dit que j’étais un vrai sadique. C’était un scoop ;-)

    La suite est privée :yahoo:

    Je vous le dis : mon anniversaire devrait être chaque mois.

    GC

    en réponse à : récits #36394
    GC
    Participant

    Tout cela ressort d’une logique certaine, Elle. Je crains même que le public le soit aussi. Inimaginable tout de même tous ces sadiques qui se retrouvent. :whistle:

     

    en réponse à : récits #36390
    GC
    Participant

    Et quand on aime, on ne compte pas …  les coups de fouet…

    Ce que je n’ai pas dit c’est que,  pendant que les 2 autres attachaient les poignets de la jeune-femme,  le fouetteur a chuchoté au barman “on voir si elle danse aussi bien qu’elle est mignonne”.

    J’ignore s’il était satisfait, le garçon.

    GC

    en réponse à : Cours de sadomasochisme #36276
    GC
    Participant

    1. Oui, le cuir (cagoules, bâillon, cravache, martinet, fouets, etc…) ne supporte pas du tout l’acidité. Exemple : je monte à cheval et je rince mes bottes dès que possible contre la transpiration du cheval, le purin, le crottin, etc. Un petit passage de 10 secondes sous l’eau courante du robinet et s’est fait. La durée de vie du cuir est multipliée par 10 grâce à cette petite précaution. Les cavaliers méticuleux font souvent ça.

    Donc, je désinfecte mon matériel cuir avec une solution d’alcool de droguerie (alcool à brûler). Le Chlore fait craqueler vite le cuir aussi, sauf si on le rince très vite, mais l’action biocide est alors faible.

    C’est pour cela que des Dom’ utilisent le vinyle ou le latex synthétique, ou les cordes synthétiques.

    2, Je vous transmets ici un dialogue avec une soumise en Sado-maso : elle s’adresse à moi.

    “Fouetter à travers les vêtements atténue de beaucoup la douleur, et ne laisse pas de marques. De ce fait, vous pouvez y aller nettement plus fort, mais, pour le (la) soumis(e), le résultat ne sera pas le même. Avez-vous oublié que les soumis(e)s, même s’ils gesticulent/gigotent/ne se laissent pas faire/cherchent à s’écarter, aiment les coups de cravache/fouet/et autres ?
    Avez-vous oublié l’importance des marques et des traces sur le corps pour les soumis(e)s ? Je suis de celles qui arborent fièrement les traces de cravache, les bleus et j’aime ça. J’aime les traces laissées, une semaine à les admirer dans la glace, à les toucher pour sentir le picotement, à les rudoyer pour se rappeler des moments délicieux passés. Avec des vêtements on n’a pas ça, et c’est dommage, très dommage.”

     

    Voilà qui est honnête et enrichissant.

    Ce qui est extraordinaire quand on peut parler avec les gens sans risque de jugement, c’est qu’on en apprend encore et encore, malgré (dans mon cas) 14 années de pratique.

    Je vais donc réfléchir comment je me situe.

    Curieux, savez-vous, comme je vous l’ai déjà écrit, que vous avez le profil pour devenir Dominant-pratiquant en sado-maso. Mais je me répète là. Si vous voulez, on peut en parler ici ou en privé. Il y a des recettes, des cheminements standards et pratique pour commencer. Sans réactie de votre part, je ne vous en parlerai plus au risque de devenir harcelant.

    [email protected]

    Bonne journée à tout le monde et encore merci pour votre aide.

    GC

    en réponse à : Bracelets de poignets et chevilles #36261
    GC
    Participant

    Pas sûr ! J’ai de temps en temps une secrétaire de direction qui vient me voir le vendredi à 18hoo. Elle me dit “attachez-moi et faites-moi souffrir tant que vous voulez ; lâchez-vous mais faites que mon mari de voit rien quand je rentre à 21h00. ” Jusqu’à présent j’ai été à la hauteur de ces demandes !

    en réponse à : Dominant en sado-masochisme #36260
    GC
    Participant

    Merci pour votre intérêt. Pour bien réussir votre soirée, il faut du bon matériel, solide et précis. Sans ça, vous passerez pour un rigolo et le peps de la soirée sera un peu gâché.

    Il y a ici des infos

    Bracelets de poignets et chevilles

    Personnellement, je mets bandeau ou cagoule sur les yeux, pour attacher (cela augmente l’ambiance et évite les interventions des mains).

    Seconde étape, quand la soumise est BIEN attachée, la première frappe sur une fesse (elle permet de jauger la sensibilité et la réaction de la soumise).

    Après, vous pouvez monter crescendo en sado-maso, pour ne pas dépasser le safeword “orange”.

    Je ne sais pas si je vous aide ici. Je répondrai à toutes vos autres questions si vous voulez et si je peux répondre.

    C’est un domaine dans lequel on trouve peu de gens prêts à aider les autres (comme sans doute bien d’autres). En mes débuts, j’ai eu beaucoup de difficultés pour comprendre les approches et trouver de l’aide. Et à présent que je suis un peu au fait, je ne veux pas être égoïste. Si nécessaire, en cas de questions non-publiques  :  [email protected]

    A bientôt

    GC

     

    en réponse à : Menottes en corde et nœuds de bondage #36246
    GC
    Participant

    Le chanvre est souple et naturel. Je recommande d’ailleurs cette matière pour le maintien du crochet anal.

    Personnellement, j’ai abandonné les cordes au profit des chaînes (et leur mousqueton) pour mes séances sm mais je reconnais que le charme reste certain.

    GC

    en réponse à : Cours de sadomasochisme #36205
    GC
    Participant

    Beaucoup de choses à dire ici

    1, Le sm à ce niveau, on n’y arrive pas d’emblée. Les slaves recherchent des sensations et des ambiances de plus en plus fortes. Il faut des années. Il y en a qui s’arrêtent à un niveau et d’autres qui sont addicts et veulent toujours plus. La recherche de ces sensations fortes est un piège pour les  Dominateurs car cela peut mener à la recherche d’asphyxie, de douleurs extrèmes (avec endorphines, etc)

    2, Quand je vois certaines scènes dans des clubs SM avec des Dom” qui prêtent leur slaves à d’autres Dom ou d’autres slaves je suis parfois sidéré. Je ne comprends pas comment des slaves acceptent de faire tout ce qu’ils font. Ils (elles) sont dans un état d’abandon de soi, comme si leur liberté de pensée avait disparu. Un lâcher-prise complet avec le réel. Une obéissance aveugle aux ordres. Parfois même je demande à un Dom’ comment s’est possible d’en arriver là et il me répond en riant.

    3, Dans la séance que je viens de décrire, je pense que le plus manipulé a été moi. Je ne m’attendais pas à cet usage de ma personne. Et quand cela a été terminé, je me suis dit qu’au moins je savais ce que je ne voulais pas chez moi. A la fin de la séance, le slave m’a remercié de l’avoir si bien regardé dans les yeux et de l’avoir soutenu psychologiquement (il n’a pas parlé de son sexe). Sans moi il n’aurait, dit-il, peut-être pas tenu le coup. Le Dom’, quant à lui m’a dit que je n’étais pas le roi pour immobiliser, mais que ça pouvait aller. Par ailleurs, ce maître SM m’apprend d’autres choses et donc, je ne pouvais pas partir comme ça, d’autant que le slave semblait y trouver son compte.

    4, Vous savez, dans les festival fétish-homo-sexo-etc (style Folsom ou gay-pride) on assiste aussi  à des scènes étonnantes (fouet public par exemple – léchage de bottes public – manger dans une gamelle à 4 pattes en public – etc). Tout cet univers qui existe en parallèle est troublant. Alors si les gens sont adultes et consentant(e)s et respectés dans leurs demandes et sans infraction à la loi, que peut-on faire d’autres que d’interdire les pratiques (et là je serais inquiet en terme “démocratie”). Chaque année je vais seul au Folsom Berlin. J’y trouve des idées, j’y (re)-vois des gens, j’assiste à des nouveautés en soirée. Cette année j’y vais avec un soumis très demandeur – une première pour moi – stress. Vous seriez étonné de ses demandes.

    5, Pour le reste les tatouages du slave étaient beaux et le maniement du fouet excellent.  Je ne vais pas dire que c’était zéro/dix. Et j’admire le slave pour sa forte personnalité.

     

    GC

    en réponse à : culture générale ;-) #36204
    GC
    Participant

    Je suis d’accord, Curieux.

    Les gens qui ont une image parfaite d’eux sont dangereux. En réalité on touche le psychopathe qui considère le monde par sa vision personnelle

    Cfr le moustachu  en 1933.

    GC

     

    Ps. Curieux, selon moi vous avez le profil d’un bon maître en SM…

    en réponse à : Petit déssin érotique (bis du bis) #36151
    GC
    Participant

    La demoiselle se concentre sur le sexe et pas la fellation. Donc les mouvements de la bouche sont en harmonie avec ce qu”il se passe dans son bassin je trouve.

    C’est mon analyse

    Dessin fabuleux.

    GC

    en réponse à : culture générale ;-) #36123
    GC
    Participant

    Oui, c’est rassurant de savoir qu’on a raison et les autre pas. La parfaitition somme toute. :yes:

    Plaisanterie exceptée, je pense que l’ouverture au BDSM montre que des tabous tombent. Et trop de tabous c’est mauvais pour le mental (trop peu de limite et c’est mauvais aussi, of course). :good:

    Bref, l’équilibre est à trouver.

    Vos smileys et votre texte m’ont fait rire, et ça c’est bon pour le mental et mes abdominaux aussi.

    Je le savais que ce forum était bon pour moi.

    :bye:

    GC

    en réponse à : Cours de sadomasochisme #36122
    GC
    Participant

    Il n’y a pas que les débutant(e)s qui suivent les cours : moi aussi j’ai des formations continuées ! lol

    Je vais de temps en temps dans des clubs sm et chez d’autres Dom’ pour me rafraîchir les idées et avoir d’autres scénaris.  Chaque année je vais au Folsom Berlin également.

    Voici ma récente formation chez un maître en sado-maso, à Bruxelles : un maître beaucoup plus hard que moi.

    Ici le slave d’environ 30 ans, est arrivé peu après moi. Ce gars était rempli de tatouages (certains très beaux, d’ailleurs), et le Dom’ lui a demandé de garder juste un t-shirt. Plutôt nouveau pour moi de voir un soum’ nu sous la ceinture.

    Il a été mis debout au centre de la pièce, poignets attachés ensemble par une corde, bras quasi tirés vers le haut. La corde entourant les poignets montait vers l’anneau du plafond et redescendait pour être attachée au piton du mur, sur le côté.

    Donc le slave est au centre de la pièce et bras vers le haut (un peu trop selon moi). Jambes libres. But du maître qui m’invite : fouetter le slave.

    Mon rôle : empêcher le slave de bouger en le tenant par le sexe et les testicules. Pas commun comme méthode et nouveau pour moi. Donc je me suis mis face à lui et lui ai conseillé de ne pas me quitter du regard pour supporter la séance. Soutien psychologique si vous voulez.

    J’ai écarté mes jambes pour avoir de l’assise (heureusement que les semelles de mes bottes sont antidérapantes). J’ai pris son sexe dans ma main gauche (je l’ai masturbé un peu auparavant pour avoir une meilleure prise). Dans la main droite : testicule droite entre mes annulaire et majeur droit ; testicule gauche entre mes majeur et index droit.

    S’il bougeait trop , je devais vriller son sexe dans ma main gauche et je devais serrer ses testicules entre les doigts de ma main droite.

    Il fallait déjà connaître la technique : on apprend tous les jours. ;-)

    Déjà il m’a fallu positionner mes mains et regarder comment m’y prendre. Et puis le fouet a démarré.

    Je peux vous dire que j’ai pu serrer, tourner, coincer ses organes génitaux pour que le pauvre gars bouge moins. Il hurlait encore plus évidemment. J’ai dû me caler contre lui en plus pour l’immobiliser. Du coup je ne pouvais plus le regarder dans les yeux. Il hurlait tellement que j’avais mal aux oreilles. On lui a mis un chiffon dans la bouche (pas de gag gonflable chez ce maître – pathétique) pour que je puisse supporter ces cris-là. Il m’aurait fallu 4 bras : 2 pour son sexe et 2 pour lui entourer les hanches tant il bougeait quand même. Et le Maître qui me grondait parce que le slave bougeait trop… Huit session de 5 minutes de fouet chacune. Et chaque fois qu’on recommençait, je devais remettre mes mains comme il faut pour bien lui tenir ses organes génitaux.

    Pfffhh, j’étais content quand c’était fini. Le Maître maniait bien le long fouet, mais quelle séance dure. Très peu pour moi, merci ! J’avais un de ces mal aux doigts de la main droite tant j’ai dû serrer ses testicules

    Dur l’apprentissage de Dom’ en sado-maso.

    A +

    GC

    en réponse à : Pilori #36078
    GC
    Participant

    Merci Elle – j’ai corrigé …

    Vos comm’ sont toujours aussi sympa, Eglantine.

    Au plaisir de revenir ici donc.

    :-)

    GC

    en réponse à : Pilori #36050
    GC
    Participant

    Elle a écrit “C’est pourquoi il ne faut jamais laisser une personne attachée sans surveillance (ça, et le risque qu’il y ait un incendie ou un cambriolage pendant que la personne est attachée :whistle:  ).

    Bon, là on exclut un cambrioleur intéressé par le BDSM. Or les débutants sont souvent, comment dire, …  so exciting…

    Pas de système d’alarme chez vous, Eve ?

    ;-)

    GC

    en réponse à : Pilori #36046
    GC
    Participant

    Merci pour toutes ces idées. Je vous rassure, les dom’ qui pratiquent le sm au pilori restent sur place pour cravacher, fouetter et surveiller.

    Ci-dessous un soum’ joliment cagoulé au pilori. Vous le voyez de face et de dos. C’est une séance chez Antoine, ébéniste et créateur de SM.

    Le soum’ est fixé tête et poignets à la bonne altitude. Le crochet anal  (en inox) a une petite boule qui est entrée dans l’anus. L’avantage de ce crochet est qu’il empêche le soumis de bouger trop quand on le cravache ou quand on lui sadise ses parties génitale.

    L’avantage de la boule est aussi une sensation érotique pour celui (celle) a qui on met le crochet.

    La corde est en chanvre (élastique) de 3 mètres de longueur minimum est tenue au plafond. Cette élasticité est indispensable pour éviter les accidents à l’anus, tout en maintenant l’esclave en place. C’est donc une mesure anti-gigotage très efficace.

    La cagoule est en caoutchouc et le trou pour la bouche permet de respirer et hurler à satisfaction.

    Pour l’histoire, ici le maître Antoine pensait que le soumis était résistant, mais ce dernier a activé le safe-word avant les 30 minutes prévues. Il y a résistant et demi-résistant semble-t-il.

    Dommage pour le plaisir d’entendre souffrir !

    GC

     

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