La Love Motion de Lovehoney est une fucking machine portable et rechargeable
Grâce à ce blog, j’ai un jour eu l’occasion de tester une fucking machine. Avant apprécié l’expérience, mais trouvant de nombreux défauts à l’engin, nous avons décidé d’acheter une sex machine haut de gamme, dont je vous parlerai peut-être prochainement : notre budget a souffert. J’ai donc décidé d’explorer les alternatives à vous proposer pour découvrir les sensations de va-et-vient d’une fucking machine. , pour un prix raisonnable ?
Voici mon test de la Love Motion.
Packaging du sextoy
L’emballage est une simple boîte en carton fin. Dedans, la machine et ses accessoires sont emballés individuellement dans du plastique. Pas de quoi s’attarder des heures sur le sujet.
Look de la Love Motion
La Love Motion se compose de quatre parties. D’abord, il y a la fucking machine en elle-même, une sorte de gros boîtier noir, un peu plus gros qu’un masturbateur Tenga, un peu plus petit qu’un paquet de Pringles. Sa base possède une ventouse inclinable.
Ensuite, les deux godes. L’un est un gode “réaliste”, un zizi rectiligne de couleur unie, de diamètre “crédible” pour un pénis humain, mais un peu long. L’autre est un engin violet, très recourbé : une forme typique pour un sextoy consacré à la stimulation du point G. A noter que leur système de fixation ne correspond à aucune norme pour laquelle on pourrait aisément trouver des accessoires compatibles (style Vac-U-Lock). Il faudra donc très probablement se contenter de ces deux-là, à moins que Lovehoney décide d’en commercialiser d’autres.
Et enfin, une télécommande.
Texture et matériaux
Les deux embouts de la Love Motion sont en silicone, donc sains pour le corps, ce qui est extrêmement rare chez les fucking machines à bas prix. Très bon point de ce côté-là donc.
Alimentation de la Love Motion
La Love Motion est rechargeable. Et certes, il ne s’agit pas à proprement parler d’une véritable sex machine, mais je n’avais jusqu’alors jamais vu de fucking machine rechargeable. Je possède des douzaines de vibros, et je sais d’expérience qu’un sextoy rechargeable est rarement aussi puissant que son alter-ego filaire, mais cela le rend également plus pratique à transporter et à utiliser partout.
Le câble de chargement est USB, et pourvu d’un embout jack côté sextoy. On le branche au centre des commandes.
Commandes et modes
La Love Motion a quatre boutons. Et tous sont utiles. Un bouton rond met en route et éteint le sextoy, un autre pourvu de deux flèches ajuste l’amplitude et la vitesse des va-et-vient, un avec un zigzag sélectionne le mode de vibrations, et le dernier actionne ou désactive la fonction chauffante.
La télécommande possède des touches similaires. Celle-ci s’avère bien pratique, car pendant que l’on utilise la Love Motion, les doigts accèdent difficilement aux boutons sur son boîtier.
Utilisation de la Love Motion
La ventouse
Mon avis est mitigé quant à la ventouse de la Love Motion. Son adhérence est excellente sur des carreaux ou sur du verre. Cependant, lorsque j’ai tenté de la fixer au rebord en bois industriel de notre lit, elle a rapidement cédé prise. Cela ne m’a pas empêché de m’en servir dans le lit, en la tenant à bout de bras… Mais j’avoue que cela ôte une partie du but que l’on peut rechercher chez une fucking machine, à savoir ne pas contrôler soi-même le mouvement, ou pas directement en tout cas.
La fonction chauffante
La fonction chauffante de la Love Motion diffuse une douce chaleur, qui se diffuse dans l’extrémité de sa partie insérable. Aucun risque de se brûler, sa température maximale avoisines les quarante degrés, il y a juste de quoi maintenir les popotins frileux au chaud.
Le gode phallique
Je pensais que le gode phallique serait moins sujet à la friction que son comparse courbe. Mais en réalité, sa forme rectiligne est interceptée par la courbure du vagin, qui lui oppose de la résistance, ce qui ralentit son mouvement. On sent alors que l’engin mériterait un tantinet plus de puissance. Mais une fois que l’on trouve l’angle adéquat, ses va-et-vient s’avèrent déjà très agréables.
Le gode “point G”
Le gode “point G” s’adapte davantage à la morphologie féminine. On l’insère avec sa partie recourbée orientée en direction du nombril. Sa courbure correspond à celle du vagin, et il y pénètre avec plus d’aisance. Les va-et-vient deviennent ainsi plus francs et plus rapides, rencontrant moins de frottements. Cela permet à la tête de l’appendice de venir heurter le point G à cadence régulière, un excellent ingrédient pour de puissants orgasmes.
Conclusion
Note finale du test
Les plus
- Pas cher, pour une presque fucking machine
- Les orgasmes sont au rendez-vous
- Original et marrant
Les moins
- Manque de puissance
- Manque d'adhérence de la ventouse
Que l’on soit bien d’accord : la Love Motion n’est pas une fucking machine à part entière. Elle n’est pas assez puissante pour mériter ce titre. Si vous souhaitez l’expérience complète et intense d’une pénétration robotique qui ne menacera pas de devenir ramollo à la première contraction de vos parties intimes, j’ai une mauvaise nouvelle pour vous. Vous allez devoir vous ruiner, et acheter une fucking machine.
Mais si vous ne disposez pas du budget pour cela (une bonne fucking machine, ça coûte un bras), la Love Motion reste un compromis très intéressant pour expérimenter des va-et-vient mécaniques à moindre coût. Elle coûte moins de 150 euros, ce qui correspond au prix d’un sextoy “de luxe” ordinaire, ses accessoires sont en silicone, elle est transportable, et elle procure déjà pas mal d’orgasmes.
Merci à Lovehoney de nous avoir fourni le Love Motion pour ce test
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