Le Fun Factory Laya 2 est un vibro clitoridien d’assez petite taille. Sorti à peu près en même temps, c’est le concurrent direct du Siri 2 de Lelo.
Ces deux sextoys ont pour point commun d’être suffisamment petits pour tenir dans la paume de la main… Mais c’est à peu près la seule caractéristique qui les lie.
Voici notre test du Fun Factory Laya 2.
Packaging du sextoy
Fidèle à ses habitudes, Fun Factory radine sur les accessoires, en ne fournissant qu’un câble de chargement. Pour l’étui, si on en veut un, il faudra l’acheter séparément.
Tous les emballages de la marque, en carton fin, se ressemblent, aux dimensions près, et le Laya 2 n’échappe pas à la règle.
Look du Fun Factory Laya 2
Le Laya 2 ressemble à une sorte de petit rasoir électrique, ou de déodorant à bille. La partie qui représenterait la bille du déodorant, ou la tête du rasoir, est la zone vibrante que l’on appliquera sur le clitoris.
Il est intégralement noir. Sa surface est mate, à l’exception de deux plaques lisses plus brillantes, l’une sur le dessous, l’autre, comprenant les commandes, sur le dessus du sextoy. Je ne le trouve pas affreux, mais pas magnifique non plus.
Ses dimensions sont suffisamment modestes pour qu’on puisse le qualifier de vibro “de poche”. Ou du moins, de vibro de sac à main.
Texture et matériau
Le Laya 2 est fait d’un silicone rigide qui attrape facilement la poussière. Ce matériau est sain pour l’organisme, mais n’a pas réellement la texture idéale pour un vibro clitoridien.
Alimentation du Fun Factory Laya 2
Le Laya 2 est rechargeable. Son câble, le “Click and Charge”, adhère magnétiquement à deux “pouics” métalliques sur le sextoy. C’est le même pour tous les vibros Fun Factory, ce qui est assez pratique quand on en possède plusieurs, car il est compatible d’un modèle à l’autre.
Aucun souci de batterie à signaler, et celle-ci tient longtemps la charge.
Il est waterproof, ce qui facilite son nettoyage, et permet de l’emmener sous la douche ou dans le bain.
Commandes et modes
Au programme, dix modes de vibrations, dont quatre niveaux d’intensité constante, et six modes “fantaisistes”. Les quatre premiers sont ceux qui nous intéresseront. Dites, les fabricants de sextoys, pourquoi persister autant avec les modes “fantaisistes”, alors que pas grand-monde ne les utilise plus de 30 secondes juste pour voir ?
Côté commandes, c’est simple. On a trois boutons :
- Un gros, rond et rouge, orné du logo “Fun” de la marque, qui allume ou éteint l’engin,
- Et deux touches “+” et “-“, pour alterner entre les modes de vibrations. Après le dernier, on ne revient pas au premier : ils ne sont pas en boucle.
Il est également possible de verrouiller les commandes avant de transporter l’engin dans son sac. Pour cela, on presse simultanément “Fun” et “-“, et pour déverrouiller, on pressera les touches “+” et “Fun”.
Efficcacité du Fun Factory Laya 2
Fun Factory comptant plusieurs sextoys redoutables à son répertoire, comme (entre autres) le Patchy Paul G5 et le Big Boss G5 je m’attendais à un vibro clitoridien qui dépote.
Mais à ma grande déception, il n’en est rien. Les vibrations du Fun Factory Laya 2 ont une puissance très moyenne.
J’obtiens certes un orgasme avec sans trop galérer, ou en tout cas presque à tous les coups… Mais bon. Ce n’est pas fou-fou non plus niveau sensations, et quelques niveaux de puissance supplémentaires seraient les bienvenus.
Si sa texture avait été un peu plus moelleuse, cette intensité de vibrations aurait pu être suffisante, mais de la part d’un vibro à la surface rigide, c’est très limite. Bref : en fin de compte, à l’utilisation, le Laya 2 s’avère assez décevant.
Conclusion sur le Fun Factory Laya 2
Les bons points :
- Le Laya 2 est petit, et donc facilement transportable.
Les mauvais points :
- Sa puissance laisse à désirer.
Note finale du test
Les plus
- Petite taille
Les moins
- Manque de puissance
Sans être totalement mauvais, le Fun Factory Laya 2 n’est toutefois pas à la hauteur de mes attentes. Il parvient à me faire jouir, certes, mais les sensations manquent d’intensité, de fluidité, car la puissance de ses vibrations demeure trop limitée à mon goût.